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Le D I P, vous connaissez ? C'est la maladie à la mode...

Une nouvelle infolettre d'Yves Rasir (du magazine Néosanté) qui nous présente la dernière maladie à la mode.



D.I.P. : retenez-bien cet acronyme. Il signifie Déficit Immunitaire Primaire (ou primitif) et il désigne la nouvelle grande maladie à la mode, celle qui va bientôt ringardiser la maladie de Lyme et surclasser le sida dans les scénarios d’épouvante. Sur le marché de la peur, c’est le nouveau produit qui fait fureur. Pensez : cette maladie n’est pas infectieuse mais elle est d’origine génétique, probablement héréditaire, potentiellement grave, et peut frapper tout le monde, du bébé à l’adulte, sans raison apparente, au petit malheur la malchance ! C’est du moins le message angoissant que diverses autorités publiques et de puissantes associations de patients, sans doute discrètement sponsorisées, s’efforcent en ce moment de répandre dans la population, en Belgique comme en France. Sites internet, newsletters, conférences de presse, placards publicitaires dans les journaux, « journées familiales » pour rassembler les victimes et exposer leur détresse face aux caméras : rien n’est laissé au hasard pour doper la popularité de cette affection et la faire grimper au hit-parade des urgences sanitaires. Signe de cette notoriété croissante , le D.I.P a sa page Wikipédia et donne déjà 257.000 résultats sur le moteur de recherche Google !


Qu’est-ce que le Déficit Immunitaire Primaire ? Pour faire simple, c’est une immunodéficience, donc un abaissement de l’immunité qui rend plus vulnérable aux infections, des plus banales (rhume, otites, mycoses…) aux plus sévères (pneumonies, encéphalites, méningites…), ces dernières étant alors appelées « opportunistes ». Comme le sida, alors ? Non, non, vous n’y êtes pas : ce D.I.P bizarre n’est associé à aucun germe. En tout cas, aucun chercheur futé n’a encore eu l’idée de traquer un débris cellulaire quelconque, de le baptiser virus, d’en faire l’agent causal du syndrome au mépris des postulats de Koch et de faire fortune grâce aux tests de séropositivité. Le D.I.P. n’a pas (encore) son H.I.V., mais il a déjà beaucoup mieux pour effrayer les foules : il est la résultante d’anomalies génétiques aléatoires qui peuvent faire dérailler tant l’immunité spécifique (celle que nous recevons en héritage à la naissance) que l’immunité non spécifique (celle que nous développons par adaptation à l’environnement). Les chercheurs ont déjà repéré plus de 140 gènes possiblement abîmés, si bien que toutes les cellules impliquées dans l’immunité peuvent en être affectées. Pas moins de 200 dysfonctionnements immunitaires (certaines sources disent 300) sont susceptibles de se déclarer par la faute de ces défauts congénitaux.


Comme le sida, le D.I.P. n’est donc pas une maladie en tant que telle. C’est une fragilité qui expose à une multitude d’ « attaques » infectieuses puisque les « défenses » ne sont pas en état de riposter adéquatement. Le cas le plus anodin, c’est le bébé souvent encombré avec la goutte au nez. Le cas le plus extrême, c’est le fameux « enfant bulle », qui doit vivre en chambre stérile car il ne peut pas mettre le nez dehors sans se choper un microbe mortel. Entre les deux, vous avez toute une palette de situations pathologiques plus ou moins inquiétantes. En France, le nombre de nouveaux cas par an est évalué à un pour 4.000 naissances, soit environ 200 chaque année. Et plus de 4.000 enfants et adultes vivraient déjà avec un tel déficit. En Belgique, on voit les choses en beaucoup plus grand car l’incidence est estimée à une personne sur 1.000, soit 10.000 individus touchés dans le seul plat pays. Si on extrapolait pour l’hexagone, ça donnerait 66.000 Français concernés ! Des deux côtés de la frontière, les épidémiologistes redoutent que leurs estimations soient très inférieures à la réalité car le mal peut se déclencher à tout âge et il faut généralement 10 à 15 ans de recul avec un patient pour que le médecin envisage cette solution diagnostique. La cacophonie règne dans les chiffres, mais il est certain que le nombre de « dipeurs » et « dipeuses » va très fortement augmenter dans un avenir proche.


Car visiblement, l’instruction a été donnée d’élargir le marché. Dans leurs campagnes de communication, les associations de médecins et de patients font en effet tout ce qu’il faut pour affoler les gens et les compteurs. Elles ont dressé une liste de signaux d’alarme qui doivent faire suspecter un D.I.P : 1) Plusieurs épisodes d’otites par an 2) Plusieurs épisodes de sinusite par an 3) Au moins une pneumonie par an chez les adultes ou deux chez les enfants 4) Des infections virales à répétition (rhumes, herpès, verrues…) 5) Des infections fongiques récurrentes ou du muguet buccal persistant 6) Des abcès fréquents de la peau ou des organes 7) Des infections bactériennes invasives ou opportunistes nécessitant un besoin d’antibiotiques par voie intraveineuse 8) Une diarrhée chronique avec perte de poids 9) Des antécédents familiaux de déficit immunitaire primaire. Si les gens présentent deux de ces signaux alarmants, ils sont priés d’en informer sans tarder leur médecin traitant. Vous voyez le topo ? Si vous avez par exemple une mycose aux orteils et un abcès sur la fesse, vous êtes probablement un immunodéficient qui s’ignore. Si votre bébé fait plusieurs maladies ORL en moins de douze mois, il est peut-être atteint. À la limite, si le petit dernier est souvent enrhumé et son frère aîné aussi, ils sont hautement suspects d’être génétiquement tarés ! Sans être devin, je vous fiche mon billet que de tels critères font faire rapidement exploser le taux de déficients primitifs.


La démocratisation du D.I.P. va bien sûr de pair avec la (sur)médicalisation de ses porteurs. Comme d’habitude, on nous fait craindre que le diagnostic soit posé trop tardivement et que des chances d’améliorer le pronostic soient ainsi perdues. « Au plus vite un traitement correct est initié, au moins le patient a de risques de présenter des dégâts permanents aux organes » avertit la publicité que j’ai sous les yeux, parue en pleine page d’un journal populaire. Quels traitements ? Aucune thérapie génique n’a encore fait ses preuves. Et vu le nombre de gènes concernés, cet espoir est sans doute illusoire. En fait, c’est la bonne vieille recette chimique qui fait office de panacée. Comprenne qui pourra, mais alors que l’antibiorésistance est un des indices du déficit, la médecine préconise notamment de l’antibiothérapie massive et prolongée. Dans son arsenal médicamenteux, elle va également chercher les immunomodulateurs censés pallier les défaillances. Dans les cas les plus graves, on va procéder à des greffes de cellules souches ou de moelle osseuse. La chirurgie n’est pas en reste puisque l’ablation de la rate est parfois préconisée. Mais les deux grandes techniques allopathiques les plus utilisées, ce sont les transfusions de sang (de plasma ou de plaquettes) et l’injection d’immunoglobulines, c’est-à-dire d’anticorps prélevés chez l’être humain ou reproduits en laboratoire. Vous imaginez le business ? Outre qu’elle ne soit pas sans risques, la deuxième méthode est des plus lucratives. Comme le précise Wikipédia, on inocule au patient des immunoglobulines d’origine sanguine qui sont puisées chez 1000 personnes différentes, histoire de couvrir un large spectre de maladies potentielles. Les flacons de 10 g coûtent entre 250 et 300 euros à l’assurance maladie. Sachant que la dose moyenne injectée se situe entre 20 et 30 g et qu’il faut recommencer l’opération toutes les 3 semaines pendant des mois, je vous laisse calculer la montagne de dépenses pour la sécu et le pactole pour l’industrie pharmaceutique. Le D.I.P., c’est une véritable poule aux œufs d’or pour Big Pharma !


C’est à mes yeux un gigantesque scandale car cet interventionnisme effréné repose sur le dogme dépassé du fatalisme génétique. Tout comme chacun d’entre nous est porteur d’oncogènes susceptibles de donner le cancer, tout un chacun présente probablement l’une ou l’autre faiblesse sur le plan de l’immunité. La perfection n’est pas de ce monde. Hormis l’absence totale de réponse immunitaire à la naissance ou dans la prime enfance, il n’y a pas de raison de paniquer. D’autant que la science actuelle découvre de plus en plus l’importance de l’épigénome, autrement dit de l’influence de l’environnement sur l’expression ou le silence des gènes. Ce n’est pas tant la valise génétique qui compte, ce sont les circonstances de vie qui vont faire qu’elle va s’ouvrir ou rester fermée. Pour en savoir plus, (re)lisez notre dossier sur la « révolution épigénétique » (Néosanté n° 27) Pour moi, il est clair que la médecine agite un épouvantail fabriqué en bonne partie par elle-même : en perturbant l’immunité naturelle et ses mécanismes, les vaccins, antibiotiques, médicaments antipyrétiques et autres anti-inflammatoires font bien plus sûrement le lit des déficiences que les gènes accusés à tort. S’ils ont le courage de refuser les vaccinations ou de les réduire au strictement obligatoire, et s’ils laissent la fièvre faire son travail lors des épisodes infectieux, les parents ne devraient pas se soucier du D.I.P. pour leurs enfants. Moyennant quelques règles d’hygiène naturelle (absence de toute médication palliative, alimentation équilibrée, jeûne au besoin, sommeil réparateur et activité physique), ils peuvent également facilement affronter la plupart des troubles trahissant une immunité faiblarde. Faut-il la stimuler ? Ne comptez pas sur moi pour vous recommander toutes sortes de remèdes et de plantes immunostimulantes. Avec de bonnes habitudes alimentaires, vous avez votre quota de vitamines et minéraux nécessaires. La seule subcarence à éviter absolument, c’est celle en vitamine D, une quasi hormone qui joue un rôle crucial dans le système immunitaire : papas et mamans, laissez donc courir vos enfants au soleil sans les tartiner de crème antisolaire !


Il faut surtout avoir conscience de ce qu’on ne vous dit jamais : le pire ennemi de l’immunité, c’est le stress psychique et émotionnel. Une discipline comme la psycho-neuro-immunologie a allègrement démontré comment l’immunodépression s’installe, via le circuit hormonal, chez les individus soumis à un stress chronique. Depuis Henri Laborit et ses expériences, on sait également que l’absence d’issue par la lutte ou la fuite érode la résistance immunitaire et conduit les sujets stressés à somatiser. Et depuis les travaux du Dr Hamer, on comprend qu’un seul stress aigu, une seule émotion brutale, peut suffire à désactiver les protections et à déclencher des maladies, des plus inoffensives aux plus sérieuses. Petits ou gros, les conflits en rapport avec le système immunitaire sont des conflits liés à la quête identitaire. L’immunité est au corps ce que l’identité est au psychisme. Mais qu’est-ce que l’identité, au fond ? C’est l’importante question à laquelle je tâcherai de répondre la semaine prochaine.


Yves Rasir
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Cancer : un état des lieux


Par Valuebreak, le 26 avril 2017

Bonjour,

Je vous propose une sorte d'état des lieux du cancer, depuis la théorie de sa genèse admise actuellement jusqu'au parcours de santé qui en découle. Le paradigme actuel sera noté en violet, mon questionnement le sera en bleu ... Quant au vôtre, ma foi, les commentaires seront les bienvenus ...

Définition Wiki : Un cancer (ou tumeur maligne) est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire (tumeur) anormalement importante au sein d'un tissu normal de l'organisme. Toutes ces cellules dérivent d'un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Cette cellule initiatrice était anormale, puis a rencontré un agent cancéreux.
On n'a jamais observé de cellules anormales pas encore cancéreuses, et le phénomène de division de cellule cancéreuse n’a jamais été observé non plus, c’est juste un présupposé. Si vous tapez « division cellule cancéreuse » sur votre moteur de recherche, section images, vous obtiendrez des dessins, ou des modélisations ordinateur …



"Cancer de l’intestin chez un Béluga adulte mâle. Le segment intestinal à droite est anormalement dilaté parce qu'il est obstrué par les masses de tissu cancéreux (centre gauche) qui ont étranglé la lumière intestinale. Le contenu intestinal ne peut pas cheminer normalement à cause de l’obstruction et s’accumule dans le segment intestinal situé entre l’estomac et l’obstruction (à droite)."



Si cancer = prolifération, pourquoi le cancer osseux (ostéosarcome) se caractérise-t-il par une destruction (lyse) osseuse ? 


Si cancer = prolifération, pourquoi y a-t-il des tumeurs au cerveau constitué de cellules nerveuses incapables de se diviser, sauf dans la region de l'hippocampe ? 


Si cancer = prolifération, pourquoi le cancer des canaux galactophores se caractérise-t-il par une destruction (lyse) canalaire ?


Origine : Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation …). Nous sommes supposés croire que l’alimentation ou qu’une éventuelle mutation n’affecte qu’une seule de nos cent milliards de cellules. Une chance sur 100 milliards alors qu'au niveau mondial on a un cancéreux sur 40 personnes … (382 nouveaux cas pour 100000 personnes par an, durée de vie 70 ans).

Notons l’expression : facteur de risque. En 60 ans de lutte acharnée contre le cancer, avec des moyens humains et matériels inégalés, on n'a toujours pas trouvé une causalité ! Ce qui signifie que l’ensemble chirurgie-radiothérapie-chimio ne s’adresse qu’aux symptômes, pas aux causes toujours inconnues.

On a longtemps attribué l’origine des cancers au seul facteur infectieux, à savoir un virus. Dans les années 60 l’agence fédérale Communicable Disease Center, dite CDC n’avait plus de maladies infectieuses à combattre, la dernière, la poliomyélite étant en voie de disparition. Elle s’est donc consacrée à l’hypothèse virale du cancer … échec complet, et donc elle est passée à l’hypothèse rétrovirus .. le plan Cancer de Nixon en décembre 71 a déversé des tombereaux d’argent pour étudier cette idée … Repris à l’échelle mondiale … échec complet …. Et donc, aujourd’hui, aucune causalité !

Le parcours médical, détection et diagnostic.:


Etape 1 : analyse de sang, encore appelée numération formule sanguine (NFS) ou hémogramme. Wiki :  Seuls le nombre de globules rouges, le nombre de globules blancs, le taux d'hémoglobine et l'hématocrite sont mesurés à l'hémogramme. Les autres valeurs ne sont que déduites (volume globulaire moyen VGM, concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine CCMH).

Raisonnement du médecin : Si vous avez des hématies de volume réduit (VGM), vous êtes à risque … Si vous avez peu d’hématies, vous êtes à risque … s’il y a peu d’hémoglobine dans vos hématies (CCMH), vous êtes à risque … à risque de quoi ? d’un manque d’oxygénation, donc d’une anémie …. Un médecin classique est conditionné à associer anémie, manque de fer et cancer … il prescrira les fameux examens complémentaires … dont l’annonce vous déclenchera un stress oxydatif …. Qui accentuera l’anémie … cercle vicieux …

Etape 2 : examens complémentaires :
On commence par une nouvelle série d’analyses sanguines où l’on cherchera à quantifier certaines protéines réputées spécifiques de tel ou tel cancer, qu’on appellera donc marqueurs tumoraux. Voici les principaux : 

- Antigène prostatique spécifique (PSA) : marqueur cancer prostate
- Gonadotrophine chorionique humaine (HCG) : marqueur cancer ovaire, testicules, sein, estomac, poumon, rein, pancréas.
- Alpha-foetoprotéine (AFP): marqueur cancer foie, canaux biliaires, testicules, estomac, pancréas.
- Antigène carbohydrate 19-9  (CA 19-9): cancer ovaires, utérus, sein, poumon,  foie, canaux biliaires, estomac, pancréas, colo rectal.
- Antigène tumoral 125 (CA 125): cancer ovaires, utérus, sein, poumon,  foie, estomac, colo rectal.
- Antigène carcino embryonnaire (ACE) : cancer ovaire, sein,  thyroïde, vessie, foie, , estomac, colo rectal.

Il n’y a pas de comptage au sens strict de ces marqueurs mais une évaluation par approximation (colorations).
 Le diagnostic « marqueurs » dépend donc des méthodes de tel ou tel laboratoire,
ou des compétences de tel ou tel laborantin …

La médecine classique reconnaît que la présence de ces marqueurs n’est pas si spécifique que cela à un état cancéreux. Ainsi, le taux de PSA augmente après éjaculation ou irritation de la prostate, permanente chez les porteurs de sous vêtements modernes.  Le taux de HCG déclenche la progestérone, et donc varie selon la périodicité féminine, c'est à dire constamment  Le taux de CA 19-9 augmente principalement en cas de diabète. Qui est désormais la pathologie la plus fréquente et surtout la plus installée chez les occidentaux. Idem le CA 125. Quant à l’ ACE, Wiki reconnaît qu’ « Il n'est toutefois pas fiable pour le diagnostic car certains cancers ne produisent pas de hauts niveaux d'ACE. ». En fait, il n’y a que le cancer colo rectal qui puisse être associé à un fort ACE.

Remarque importante : 1/ Ces deux séries d’examens sanguins sont effectuées au niveau veineux, donc au niveau d’un sang chargé de déchets. est ce pertinent ? quand vous voyez une poubelle pleine de fruits pourris, en déduisez vous que les occupants n’ont mangé que des fruits pourris depuis des jours ? 
Pour aller plus loin voir cet intéressant article du BBB : http://bistrobarblog.blogspot.fr/2014/10/lanalyse-de-sang-un-examen-utile-et.html#more.
Lisez les commentaires …

 2/ les marqueurs tumoraux sont des débris cellulaires, donc contredisent la prolifération folle …
      3/ pour constater comment on drive les médecins, lisez ces directives officielles belges qui expliquent aux médecins le langage à tenir aux patients en cas de test PSA positif … https://kce.fgov.be/sites/default/files/page_documents/KCE_Cancer_prostate_18HD.pdf

Etape 3 : l’imagerie (Scanners, IRM, etc ...)

Je passe sur toutes les techniques et appareillages disponibles, l’objectif est toujours le même : rechercher des zones radio opaques, forcément associées à une tumeur, et une vascularisation élevée.
Il est bien clair que ces procédés permettent de détecter des tumeurs toutes petites, indécelables à l’examen  clinique. Ce qui permet d’augmenter l’incidence des cancers et donc de réclamer davantage de moyens, notamment en imagerie … cercle vicieux …

Etape 4 : le prélèvement tissulaire (la biopsie).


Frottis, aspiration par aiguille, ponctions des liquides, micro forceps sur endoscope, prélèvement chirurgical classique …
Puis analyse au microscope du tissu vivant.


 Vivant ? L’est il ?  selon les protocoles d’histologie, les tissus sont :

- fixés (=tués) par un bain de formol et d’acide
- déshydratés totalement (l’eau=70% en moyenne de la matière vivante),
- dégraissés (toluène ou trichloréthylène),
- inclus dans de la paraffine, du plastique, ou congelés,
- coupés en tranches ultra-fines =dilacérés,fripés+++,
- chauffés(600°)
- baignés à nouveau dans le toluène ou le trichloréthylène,
- réhydratés artificiellement,
- mordancés (bains dans de l’acide pour fixer les colorants),
- colorés,etc.
(résumé par le doxteur A. Scohy : https://www.youtube.com/watch?v=212vxpQZUos&feature=youtu.be

Cas particulier : la lésion précancéreuse.

Si la couche superficielle (épithélium) du tissu examiné présente un état anormal, on le qualifiera de carcinome, supposé précancéreux. Par exemple, une anomalie de la peau (grain de beauté) ou une dysplasie du col de l’utérus (condylome). Si c’est une couche plus profonde, on parlera de sarcome.

Donc on introduira dans la conversation le terme de précancéreux, bien qu’un condylome évolue vers un cancer dans moins de 1% des cas … dans le cas d’une néoplasie de l’utérus on surveillera spécialement les femmes ayant ou ayant eu des rapports sexuels, vieille réminiscence de la théorie virale … Et machisme ordinaire de la médecine contemporaine...

Etape 5 : Traitement des cancers :

Chirurgie : souvent le premier traitement. L’opération chirurgicale est la forme la plus ancienne de traitement des cancers. C’est encore aujourd’hui bien souvent le premier traitement qui est proposé aux personnes diagnostiquées. Elle est utilisée dans environ 80 % des cas.
Dernier avatar : la chirurgie préventive, mastectomie.

Chimiothérapie : la chimio est un traitement reposant sur la prise d’une substance chimique, qui détruit les cellules cancéreuses ou altère leur multiplication (cibles thérapeutiques). Elle est plus efficace sur les cellules qui se renouvellent rapidement. Durée moyenne : 6 mois.

Radiothérapie : consiste à exposer les cellules cancéreuses à des rayons  Plus de la moitié des personnes atteintes d’un cancer reçoivent ce type de traitement. Elle permet de diminuer la taille de la tumeur avant opération, ou de diminuer le risque de récidive après.

Je passe  rapidement sur la chirurgie dont on sous estime complètement les effets secondaires, mécaniques genre résection d’un nerf ou bio chimiques suite aux anesthésies. La chirurgie dite préventive est un leurre total  ciblant là aussi les femmes (seins, ovaires).

La chimiothérapie n’épargne pas les cellules saines, en particulier l’hématocrite chute vertigineusement. La toxicité hématologique est l’effet secondaire le plus fréquent de la chimio. Ce qui veut dire que la moelle osseuse est atteinte puisque c'est là que sont fabriqués les hématocytes. En fait, la chimio détruit bien plus de cellules saines que de cellules cancéreuses,lesquelles deviennent résistantes à la chimio au point qu’en cas de récidive cancéreuse, on est obligé de changer de chimio.

Evolution des cancers, métastases :

Une métastase cancéreuse est la croissance  d'une cellule tumorale à distance du site initialement atteint par voie sanguine. Sous Pasteur, on pensait que c’étaient des microbes qui propageaient les cancers …

Les organes les plus fréquemment touchés sont toujours les mêmes, comme suggéré en 1889 par Stéphane Paget. Par ex, le cancer de la prostate métastase généralement dans les os, le cancer du colon dans le foie, le cancer de l’estomac féminin dans les ovaires …

Pourquoi le cancer métastase-t-il chez certains et pas les autres ? Pourquoi en trois mois, pourquoi en dix ans ?
 La perte d’adhésion  est inexpliquée. On n’a évidemment jamais observé de cellule cancéreuse voyageuse ni dans le sang, ni dans la lymphe. Si c’était le cas, on se demande bien pourquoi les millions de transfusés sanguins ne développent pas davantage de cancers à évolution  rapide, puisque métastasés Pourquoi les organes cibles lorsque la circulation sanguine est générale ? Pourquoi un cancer proliférant du colon fait il des trous dans les os ? Il est impossible de transplanter un tissu sain dans un autre différent.
Les cellules cancéreuses métastasées n’ont pas le même profil génétique que celles du cancer primaire.

Chez l’embryon, des cellules souches peuvent migrer (métastaser ?) chez la mère … qui devient une chimère (ADN de la mère + les différents enfants + les différents pères). La mère également transmet des cellules à son enfant, c’est pourquoi l’enfant a le système immunitaire de sa mère.


Rémissions spontanées. Elles existent mais le corps médical n'en parle jamais ...





https://fr.wikipedia.org/wiki/Cancer
http://www3.ligue-cancer.net/files/national/article/images/Incidence.jpg
https://fr.wikipedia.org/wiki/Centres_pour_le_contr%C3%B4le_et_la_pr%C3%A9vention_des_maladies
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/120-comment-detecter-un-cancer
https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9mogramme
https://www.chimio-pratique.com/marqueurs-tumoraux-tout-savoir/
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/ATP/histo.htm
http://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-col-de-l-uterus/Lesions-precancereuses
http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/diagnosis-and-treatment/chemotherapy-and-other-drug-therapies/chemotherapy/how-chemotherapy-works/?region=qc
https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tastase_(m%C3%A9decine)
http://www.neosante.eu/la-verite-sur-le-cancer-I
http://www.neosante.eu/revue-pdf/neosante45.pdf
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/ATP/immu6el2.htm




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Un nouvel auteur sur le BBB

Vous avez déjà eu l'occasion de le voir sur le blog, soit par son article sur le Sphinx que j'ai publié, soit par ses commentaires sur divers sujets dénotant son goût de la recherche.

Je parle de Valuebreak, qui publiera demain mercredi un premier article en son nom propre.

Cet article traitera du cancer, sous forme d'un "état des lieux" actuel émaillé de pistes de réflexion alternatives.

Alors je souhaite la bienvenue à Valuebreak...
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Facebook travaille sur un Smartphone qui peut lire les pensées


Encore une nouvelle bonne raison de n'avoir jamais mis un pied dans les réseaux sociaux. Vigilant Citizen nous dévoile cette petite merveille...

Facebook travaille sur un Smartphone qui peut lire les pensées

Le délicieux Mark Zuckerberg

Par Vigilant Citizen
Traduit par Hélios

Facebook a annoncé qu'il réunissait une équipe de 60 personnes pour développer une technologie qui permettrait aux smartphones des utilisateurs de FB à "penser" les commandes et les messages. Le système aurait la capacité de lire littéralement dans votre esprit… constamment. Cherchez l'erreur...

Les gens de Facebook s'engagent sur une pente qu'on ne peut qualifier que de post-orwellienne. Non contents que leurs utilisateurs partagent volontiers des informations intimes quotidiennement, Facebook cherche à réorganiser le monde à sa façon en voulant déchiffrer les pensées qui n'ont même pas été verbalisées.

Mark Zuckerberg a publié en février le " Manifeste Facebook" qui, sous couvert d'un vocabulaire altruiste, cache la vision dystopienne d'un "monde connecté" où le flux d'informations est supervisé et transmis par intelligence artificielle et algorithmes élaborés. Mais ça ne suffisait pas.

Le 19 avril, la société a révélé son projet le plus ambitieux (et le plus effrayant) à ce jour.
"Et si vous pouviez taper directement à partir de votre cerveau ?"

Facebook a réuni une équipe de 60 personnes comprenant des experts en machines d'apprentissage et en prothèses neuronales, des ingénieurs en interface cerveau-ordinateur et en imagerie neuronale, pour la création d'un smartphone "lecteur de pensée". Le système serait capable de taper une centaine de mots par minute – directement à partir des pensées.
Facebook projette de développer des capteurs non-invasifs capables de mesurer à haute résolution des centaines de fois par seconde l'activité du cerveau pour décoder en temps réel les signaux cérébraux associés au langage. "Une technologie de ce type n'existe pas encore aujourd'hui ; nous avons besoin d'en développer une".

Facebook envisage d'utiliser une imagerie optique – à l'aide de lasers qui capturent les changements dans les associations de neurones en activité – pour récolter les mots directement dans le cerveau avant qu'on ne les exprime. Si on peut lire ces signaux, on peut les transmettre silencieusement à d'autres gens.

Vous êtes en droit de trouver effrayant qu'une société gagnant déjà sa vie grâce à la récupération de vos données personnelles pourrait aussi avoir accès à vos pensées intimes.

Regina Dugan [ex-directrice du DARPA] a tenté de dissiper les craintes en soulignant que Facebook ne décoderait que les mots sur le point d'être prononcés. "Il n'est pas question de décoder toutes les pensées au hasard", a-t-elle dit. "Nous parlons d'un décodage des mots que vous avez déjà décidé de partager en les envoyant vers le centre du langage de votre cerveau".
– The Guardian, Facebook has 60 people working on how to read your mind (Facebook a 60 personnes qui travaillent sur la manière de lire dans votre esprit)
Facebook déclare qu'on ne doit donc pas s'inquiéter si nos pensées sont lues constamment par une machine parce qu'elle ne peut décoder que les mots qu'on "va dire". Le but de cette technologie est pourtant bien de lire les pensées – sans qu'elles soient énoncées – et de les traduire dans les commandes de l'ordinateur. Comment délimiter la frontière entre ce qui peut et ne peut être lu dans le nébuleux royaume de la pensée humaine? Comment peut-on être sûr que ce genre de technologie ne servira pas en fait à surveiller et contrôler les pensées des gens ? Les gens sont-ils même prêts à ce qu'on s'introduise dans le sanctuaire de leurs pensées intimes pour le minuscule avantage de ne pas avoir à déplacer un doigt sur leur écran tactile ?

Une autre raison poussant Facebook à vouloir lire les ondes cérébrales est de faire avancer sa technologie de réalité augmentée.
Une autre raison incitant Facebook à vouloir lire notre activité cérébrale est de développer l'équivalent d'une "souris cérébrale" pour une réalité augmentée. Elle [Dugan]a dépeint un avenir où tout le monde porte des lunettes de réalité augmentée qui complémentent notre champ de vision en informations supplémentaires telles que les directions, et de meilleures capacités comme une traduction en temps réel de la voix des gens ou la possibilité de "rendre muets" des gens et bruits particuliers de notre environnement sonore. Ce qui manque dans cet avenir augmenté est un interface pour l'utilisateur. Quand on ne possède ni smartphone ni souris, comment peut-on sélectionner un élément de contenu numérique et cliquer dessus ?

C'est là que l'interface cerveau-ordinateur entre en jeu.
– Ibid.
Facebook semble pressé de répondre à des questions que personne n'a jamais posées. Bien que la technologie soit présentée comme un moyen de "rester connecté avec les gens autour de nous" en réduisant le besoin de regarder son écran – le but réel de cette technologie est terriblement évident. Ils veulent savoir ce que vous pensez. En permanence.
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Vidéos et photos d'avril

Tout d'abord, pour ceux que des webcams live de rapaces intéressent, voici quelques liens :

En Estonie, les balbuzards pêcheurs : NID n° 1 et NID n° 2
C'est la cinquième année que je suis ces deux nids et j'y ai toujours autant de plaisir.

Pour les amateurs de faucons pèlerins, un nid se trouve dans une église à Illkirch-Graffenstaden en Alsace. La femelle a été nommée Valentine et le mâle Flash. Le dernier oeuf a été pondu le 20 mars (il y en a 4), la première éclosion devrait se produire autour du 20 avril. LIEN. Pas de "chat" sur cette webcam. [edit : les 4 poussins sont nés]

Un autre nid de faucons pèlerins en Angleterre, près de Londres (dans l'enceinte du Kingston College). Les parents se nomment Elfleda et Edward (du nom d'anciens régents de Kingston). Les éclosions devraient se situer autour du 25 avril. La WEBCAM n°1 montre la "salle à manger" des faucons et la WEBCAM n°2 le nid qui contient 5 oeufs, chose assez rare. Il y a un "chat" associé à chaque webcam, les anglophones y sont les bienvenus...

* * * * * * * * * * *

Une mère américaine modèle nous présente son réfrigérateur Frigidaire. Une pub de 1956 :


Une chienne qui nage la brasse :




Le plan-labyrinthe d'un magasin IKEA, Le point jaune désigne ce que vous souhaitez acheter.

Entretien d'embauche chez IKEA : "Refaites la chaise et asseyez-vous"
Portrait hyper-réaliste au crayon

Ce qui se produit quand quelqu'un laisse une caisse de poissons auprès d'un port en Alaska: une bande de pygargues (Les "aigles" américains) affamés rapplique:



Les différentes étapes de fabrication du savon de Naplouse. Eirik Moe, un Norvégien, s'est rendu dans une savonnerie de la ville de Naplouse en Palestine pour filmer les différentes de fabrication de son célèbre savon à base d'huile d'olive. La fabrication du savon se fait en 5 étapes, la cuisson, l'étalage, la découpe, le séchage et enfin l'emballage. Pendant l'étape de la cuisson qui dure 3 jours, l'huile d'olive est mélangée avec de la soude et de l’eau. La pâte obtenue est mélangée régulièrement. Une fois la cuisson terminée, une équipe de porteurs se charge de porter à l’étage le mélange dans des seaux pesant 50 kg environ. Le mélange est versé au sol où il sèche pendant une journée. Il est ensuite quadrillé avec un fil trempé dans de la peinture rouge puis marqué avec le tampon de la savonnerie. La pâte séchée et durcie est découpée et les morceaux obtenus sont empilés pour former des tours que l'on appelle tananîr. Après 2 à 3 semaines, le savon séché est emballé à la main dans du papier. Les ouvriers emballent entre 500 et 1000 savons par heure. (Source : Koréus)


Un poisson tropical en aquarium cherche à évacuer le sable de son trou, mais un autre poisson facétieux prend un malin plaisir à le renvoyer dedans :


"Elle a mangé des graines de potiron, elles sont ressorties dans son caca et elles ont commencé à germer. La voilà assise près de son oeuvre."

"L'un de nos chiens est nettement plus intelligent que l'autre".

Max Factor (né en 1872 de parents juifs-polonais), expert en maquillage à Hollywood, fait une démonstration de son appareil qui analyse les imperfections des visages de stars pour les corriger par le maquillage. 1935.

Une autre invention, un "isolateur" qui permet d'éliminer tous les facteurs de distraction pendant qu'on travaille. J'imagine ça aujourd'hui dans les bureaux...

Que faire des casques allemands après la guerre, des casseroles et passoires, pardi ! Film de 1946 :



Une chapelle à l'abandon en France


Une idée de pâtissier : un "rubik-gâteau"

Un chaton et un petit lapin jouent "à chat" :


Pour terminer, deux sauvetages effectués par Hope for Paws. La première vidéo montre comment récupérer une chatte et ses 4 chatons dans une canalisation longue de 18 mètres :


L'autre sauvetage concerne 8 chiots vivant dans une sorte de petite caverne profonde de 5,50 mètres, la mère (sauvage) étant introuvable et inapprochable (les recherches continuent pour la retrouver, malgré tout) :


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Comment empêcher les émotions de gouverner notre vie

Une autre leçon de vie par David Cain.


Comment empêcher les émotions de gouverner notre vie



Par David Cain
Traduit par Hélios

La pire période de ma vie s'est achevée peu après une découverte fondamentale : la plupart de mes expériences désagréables venaient directement de mon besoin désespéré de les éviter.

J'avais des problèmes scolaires à l'époque. J'étais un mauvais élève parce que j'évitais de demander de l'aide ou de revenir sur des concepts que je n'avais pas saisis la première fois. J'évitais ces choses précisément parce qu'elles me donnaient le sentiment que j'étais mauvais élève.

C'était une stratégie parfaitement défaitiste, mais je ne l'ai compris que bien plus tard.



J'avais malencontreusement vécu certaines expériences émotionnelles – celle en particulier de me sentir incompétent – qui se révélèrent si inacceptables que je faisais tout pour les éviter, ce qui explique précisément pourquoi elles continuaient de dominer ma vie.

C'est en découvrant un principe simple, décrit parfois comme "thérapie d'exposition", que le déclic s'est produit. On fait l'expérience, par petits bouts, de s'autoriser à ressentir les choses dont on a peur et on les observe perdre leur pouvoir sur soi.

Nous mentalisons nos ressentis pour ne pas avoir à les vivre

J'étais un cas particulièrement difficile, mais c'est le cas de nous tous dans une certaine mesure. Nous aggravons certaines émotions en essayant de ne jamais les ressentir. Les effets feront boule de neige jusqu'à en devenir handicapants.

Éviter désespérément l'expérience de l'humiliation, par exemple, entraîne des habitudes d'extrême timidité. Ce qui ne fait que stigmatiser encore plus l'humiliation en entravant les occasions de la vie en société qui pourraient la prévenir ou l'atténuer. La timidité semble, au premier abord, une défense raisonnable contre l'humiliation, mais elle finit par devenir une présence fantomatique qui contrôle la vie.

La fuite possède la vertu de mettre en valeur la chose que vous évitez. Nous souffrons aussi de ces retombées d'une manière plus subtile. De nos jours, avec des divertissements si rapidement à notre portée, nous sommes devenus entièrement hostiles à la sensation d'ennui. Nous nous indignons contre les retards et les bugs techniques bien plus que ne le faisaient nos parents et nos grand-parents. Nous sortons nos téléphones dix fois par jour et l'anxiété nous gagne si la batterie donne des signes de faiblesse. Comme nous évitons de nous exposer à l'ennui, il n'en devient que plus douloureux que jamais et nous sommes toujours plus demandeurs des moyens de le repousser.

Toute expérience qui sort de l'ordinaire a tendance à nous déstabiliser davantage. Un habitant de Floride qui vient d'emménager à New-York sera plus sujet aux rhumes qu'un natif new-yorkais.

À quoi sert pourtant de rechercher des expériences difficiles que nous pouvons à coup sûr éviter ? En évitant les effets secondaires, nous serons moins prêts à gérer avec grâce toute expérience. Mais cela n'a vraiment aucune importance si nous sommes en position de ne jamais les laisser se produire.

La stratégie de l'évitement à tout prix travaille malgré tout contre nous quand il s'agit de ressentis bien humains inévitables comme le doute, la gêne, la peur et la déception. Ce sont des expériences universelles récurrentes. Aucun de nous ne sera libre de ces ressentis, qu'on le veuille ou non, et l'un ou l'autre prendra donc le contrôle de votre vie jusqu'à ce qu'on réalise que c'est une expérience complètement inacceptable.

Quand ce type de ressenti se manifeste, au lieu de nous autoriser à le vivre, nous faisons souvent un dernier effort désespéré pour éviter l'expérience : on se "prend la tête" afin de savoir pourquoi nous ne devrions pas avoir à le vivre.

Le mental élabore des arguments sur le fait que ce ressenti n'aurait pas dû se produire. Si vous ressentez du doute ou de la colère ou de l'embarras, quelque chose a dû dérailler dans l'univers. Le mental commence à chercher le responsable, ce que untel aurait dû faire, que vous ne comprenez jamais rien à ce qui se passe, que le monde a été corrompu par les corporations ou des gens mauvais – toutes sortes d'explications confortant le fait que vous ne devriez pas faire l'expérience de ces ressentis.

Nous agissons apparemment ainsi pour résoudre nos problèmes, identifier les parties incriminées et décider de notre réponse. Mais si vous examinez ce genre de rumination, il est évident que ce qui nous anime n'est pas de comprendre quoi faire ensuite, mais de défendre l'idée que cette récente expérience émotionnelle déplaisante n'aurait pas dû se produire du tout.

Si pourtant vous ne cédez pas à cette tentation de laisser le ressenti s'exprimer en jouant à la place un coup brillant, vous pourriez découvrir quelque chose de surprenant : qu'un ressenti désagréable a tendance à perdre de sa virulence sitôt qu'on décide qu'il n'y a nul besoin de l'éviter. Il ne persiste pas bien longtemps à partir du moment où il ne trouve pas de répondant.

En quoi consiste la liberté

Je suis convaincu aujourd'hui que la plupart des barrières de notre vie personnelle proviennent de l'habitude absurde consistant à ne jamais vouloir vivre certains ressentis normaux inévitables. Notre insistance à vouloir nous prémunir complètement de certaines émotions indésirables ne les rend que plus déstabilisantes quand elles nous assaillent.

Tenter de vivre à l'abri de nos émotions les moins appréciées est la parfaite recette d'un comportement névrotique et addictif. Je me suis imposé au collège la règle inapplicable de ne jamais avoir à expérimenter de la gêne et elle n'a fait de ma vie qu'une constante source de gêne.

Si nous acceptons de bonne grâce de vivre la gamme complète des émotions propres à l'homme, nous nous en libérons graduellement. C'est vraiment une question propre à susciter de la curiosité plutôt que de la combativité envers les aspects les moins sympathiques de l'expérience humaine.

L'incertitude, par exemple, n'est apprécié de personne, mais vous êtes bien plus libre si vous savez comment le gérer avec de la bonne volonté.

Voilà pourquoi je me ferai l'avocat de la méditation jusqu'à mon dernier souffle. Cela revient essentiellement à se préserver chaque jour un petit moment à soi pour simplement aller à la rencontre de ses ressentis quels qu'ils soient.

Vous n'avez qu'à vous asseoir confortablement en notant ce que vous ressentez quand vous êtes assis au calme. Oubliez, pour un bref moment, votre impossible mission de toujours ressentir les choses d'une certaine façon.

Ces séances sont souvent très plaisantes. Mais au fil du temps, vous ferez face à toutes les expériences les moins populaires : l'ennui, la nervosité, l'agacement, l'impatience, la fatigue, la sensation d'avoir trop chaud ou trop froid, d'être moite, l'envie irrésistible de manger des frites et beaucoup d'autres encore.

Avec beaucoup de douceur et d'indulgence, vous observez ce qui se passe quand vous vous autorisez à simplement vivre ces vécus quand ils se produisent.

Et vous découvrez que pour la plus grande part ils ne sont pas si mauvais – tout du moins pas aussi mauvais que si vous viviez en en ayant peur – et qu'ils ne persistent pas longtemps sauf si vous les combattez. Si vous arrêtez de vouloir bannir certaines sensations de votre vécu, elles s'évacuent assez facilement, en quelques minutes ou même quelques secondes et cela en toute quiétude.

Envisagez-le ainsi : vous êtes maintenant dans un état de nervosité et vous refusez définitivement à cette nervosité le pouvoir de contrôler votre vie. Même chose pour la peur, l'ennui, l'impatience, la colère, l'indignation, la déconvenue, la dépendance et tout ce qui rend désagréable le fait d'être une créature humaine.

Il est difficile d'imaginer à quel point cette pratique peut être libératrice au fil du temps. La vie commence à apparaître plus sécurisante parce que vous étendez en permanence la gamme des expériences vécues. Plus vous accepterez de ressentir un sentiment donné quand il se produit, moins il vous occasionnera d'ennui à long terme.
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Nucléaire et OVNI, suite 2 et fin

LIEN vers l'article original de Miles Mathis.

LIEN vers les premiers commentaires du lecteur de Miles Mathis.

LIEN vers la première partie de la suite des commentaires du lecteur.

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NRO


Source de l'article

Traduit par Hélios
Les commentaires de Miles Mathis sont en vert.




La base Air Force de Kirtland était impliquée dans le Projet Manhattan, c'était un centre d'essai de vol, et plus tard le "quartier général d'essais de la 58ème division de bombardiers, qui stationnait sur l'aérodrome militaire de Roswellau Nouveau-Mexique". C'est là que s'est déroulé le crash de Roswell en 1947, plus précisément dans un ranch près du village de Corona, près de Roswell. N'est-ce pas le même nom que le projet de satellite Corona d'Hiller/Lockheed ? Et à quelle date le crash a-t-il été rapporté ? Le 8 juillet 1947 ; la CIA a été officiellement créée deux semaines plus tard, le 26 juillet (2+6 = 8) 1947. Et qui dirigeait le projet Corona ? La CIA. Et regardez ce qui est dit sur wiki : "L'armée décida de dissimuler le but réel du dispositif qui s'était écrasé – un suivi de test nucléaire – et informa à la place le public en annonçant que le crash était celui d'un ballon météo". Ce qui soutient de nouveau votre thèse concernant un nouveau type de transport probablement en cours d'essai. [Miles : oui, mais c'est encore du détournement d'attention parce qu'ils essaient de refourguer le programme nucléaire, même s'ils "divulguent" le "but réel". Donc, même quand ils disent les choses en règle, ils ne font que raconter un autre mensonge. C'est pourquoi nous devons examiner tout ces trucs du NRO de très près. Comme pour toutes les autres "fuites", nous pouvons supposer que celles-ci sont sous contrôle.]


Concernant la queue de diable sur la partie centrale du logo (un hexagramme stylisé), vous rappelez-vous que le phosphore est l'élément du diable en raison de son utilisation dans les explosifs, et qu'il veut dire lumière et se réfère au champ de charge ? Quand je faisais des recherches sur le logo du film Men In Black (un hexagramme stylisé), je suis tombé sur une photo de l'homme assis tout près de ce logo, mais je pensais qu'il serait trop stupide de vous demander si ce qui suit pouvait signifier quelque chose. Devinez-vous le titre à la une du journal que lit le gars ? SATAN S'ÉCHAPPE DE L'ENFER.


Il y a autre chose que j'ai remarqué sur le logo de l'armée ci-dessus et sur d'autres. La flèche qu'ils emploient ressemble à la croix du blason des Chevaliers de Malte et la même flèche figurait dans Star Trek et Blake's 7 – deux séries TV de science-fiction des années 70 en rapport avec des vaisseauxvolant dans l'univers.

De plus, la croix des Chevaliers de Malte, connue officiellement comme la Croix de Malte, ressemble à la croix des Chevaliers du Temple, qui est une variante de la croix pattée. Et maintenant la cerise sur le gâteau. Vous avez fait récemment une mise à jour de votre article sur la lévitation par la chaleur avec une expérience moderne en holographie quantique. Vous souvenez-vous de à quoi ressemblait le diagramme de l'article de référence ?

La première est l'hologramme d'un photon (mesuré à gauche et théorique à droite), la seconde est une variante de la croix pattée et la troisième est le symbole le plus reconnu des Chevaliers du Temple, l'ordre le plus élevé du rite York de la Franc-Maçonnerie (notez le cercle/soleil ? dans le carré derrière, au centre les rayons de soleil autour de la croix dans la couronne). Cette variante est l'une des marques du Renseignement les plus utilisées sur la planète. Vu d'au-dessus, elle pourrait représenter une pyramide.

Bien qu'il y ait de nombreuses pyramides différentes dans le monde, je me demande si elles pourraient toutes servir de "stations de chargement" pour ces vaisseaux évolués, comme vous l'avez suggéré. Quant à la "charge maxima atteignant le ciel sur de longues distances", je me souviens qu'on le prétendait pour la pyramide de Bosnie ; je pense qu'ils ont mesuré cette énergie, mais n'en suis pas sûr.

Voici la forme standard de la croix pattée (également utilisée par les Templiers) et son usage dans l'un de mes dessins animés favoris, He-Man and the Masters of the Universe [Les Maîtres de l'Univers en français, série TV diffusée à partir de 1983 aux USA]. Les Maîtres de l'Univers…


Ce qui me ramène à votre article, symbolisme mystique et champ de charge, où vous déclariez que l'hexagramme, qui "précède même l'Ancien Testament, et qu'on peut trouver dans les mandalas indiens, n'a rien à voir avec le judaïsme", est une représentation du champ de charge.


Ce qui me renvoie à votre article sur John Dee, Francis Bacon, les Rosicruciens et la Franc-Maçonnerie. Nous avons donc deux symboles vieux de milliers d'années qui correspondent à des diagrammes de la science moderne en lien avec la lumière/charge. Comment est-ce possible ? Il est manifeste que ces gars n'exploitent pas une technologie nouvelle.

Revenons maintenant au NRO. Entre parenthèses, son logo actuel est légèrement différent de celui qu'on voit sur le documentdéclassifié de 1988 concernant les satellites Corona. Notez ce qu'il annonce sur la première page du document (ajouté probablement plus tard) : "Histoire du Corona". Une histoire ? Rappelez-vous que ces satellites étaient censés être les premiers satellites espions lancés en orbite. Le premier partit en 1959 et le dernier en 1972 ; tout ceci fut classifié jusque dans les années 90. Le nom du programme était un code et non un acronyme selon wiki. Nous avons vu plus haut que le village de Corona fut le site du premier crash d'OVNI en 1947 et presque 13 ans après, le nom Corona sert de nom de code pour un programme géré par une agence qu'on nommait "version secrète de la NASA". Et que signifie corona ?
1. Enveloppe lumineuse, irrégulière à l'extérieur de la chromosphère d'une étoile. La corona solaire se compose de gaz ionisés […]. Ce phénomène est visible uniquement pendant une éclipse solaire.
2. Anneau lumineux légèrement coloré apparaissant entourer un corps céleste (comme la lune ou le soleil), visible à travers la brume ou un nuage peu épais, causé par diffraction de la lumière dans la matière en suspension du medium en cause. Nommée aussi auréole.
3. Phénomène de décharge électrique partielle entraînée par l'ionisation du milieu entourant un conducteur.

En gros, électricité et lumière, qu'on retrouve encore une fois en lien avec le champ de charge.

À la même époque, en 1959, la NASA démarra son programme de vols habités et le programme Apollo se termina en 1972 (le dernier programme habité, US-URSS, se termina en 1975). Je suppose que la technologie du NRO a servi à filmer tout ce qui est possible sur Terre et dans l'espace et qu'ensuite toutes ces photos sont analysées et révisées par l'Agence Géospatiale du Renseignement (NGA en anglais). En passant, ce sont celles du Corona qui ont servi dans les années 60. Si les activités de la NASA sont des mises en scène, du trucage, je ne vois pas ce que pourrait être son but en dehors d'un rôle de couverture, de pompe à fric et de canal pour couvrir des projets secrets opérés par le NRO et autres agences du Renseignement. Diverses compagnies spatiales privées, comme Space X, Bigelow Aérospace, etc. agissent probablement de la même manière.

Et ce ne sont que les compagnies américaines et les projets spatiaux. Il y a aussi la Russie, le Kazakhstan (dont l'installation de lancement spatial opérationnel est la première et la plus étendue), la Chine, etc.

J'ai remarqué que certains écussons et logos du NRO montrent l'Afrique, pas uniquement l'Atlantique (sud).

Ils montrent nettement la partie nord de l'Afrique (désert du Sahara), probablement l'un de ses centres (Nigeria au nord-est), ou peut-être un endroit proche du Tchad, du Niger ou du Soudan.

La référence à l'Afrique pourrait autrement s'expliquer parce qu'on l'appelle "le continent noir" (Afrique noire) et que tout ce que gère le NRO fait partie "d'un monde noir (classifié)".

J'ai fait une rapide vérification pour savoir s'il y a des pyramides dans cette région (en dehors de celles d’Égypte) et j'en ai trouvé au Nigeria, au Niger et au Soudan (également en Libye, et même dans les îles Canaries).
En bas à droite : pyramides de Meroe en Nubie (Soudan)

J'ai entendu parler des recherches d'Alexandre Golod (ancien directeur ukrainien de la défense et scientifique) sur les supposés effets positifs des pyramides, mais je ne sais pas si c'est vrai ou juste une autre manipulation et je ne souhaite pas approfondir ce sujet maintenant.

J'ai également recherché des activités nucléaires ou de l'uranium dans cette région. Comme diverses commissions sont concernées, il n'y a que la Commission de l'énergie atomique du Nigeria dont le logo est un hexagramme, presque le même que celui du film Men in Black 1.

Et il y a des mines d'uranium au Niger, au Nigeria et au Soudan (et dans de nombreux autres pays d'Afrique), avec le Niger comme étant l'un des 20 premiers producteurs mondial. Le premier est le Kazakhstan (ça vous rappelle quelque chose ?) – si ce nouveau type de carburant provient réellement de l'uranium, pas étonnant qu'ils font ça aussi ; l'exploitation minière de l'uranium est d'une "importance considérable pour l'économie du pays" et "dans la dernière moitié du siècle dernier, le Kazakhstan a été une source majeure d'uranium pour les programmes nucléaires mondiaux".

Comme vous avez mentionné l'existence de pyramides au Pérou, en relation avec un écusson du NRO, je suis allé voir s'il y a aussi de l'uranium là-bas et il semble que oui. On prédisait que le Pérou allait devenir le premier producteur majeur d'Amérique du sud. J'ai aussi découvert un lien avec la Commission américaine de l'énergie atomique où l'on trouve un projet de "reconnaissance de l'uranium" au Pérou, au Chili et dans certains états américains et d'autres références en lien avec l'uranium et à sa science/production.

J'ai également trouvé plusieurs autres logos atomiques figurant un hexagramme :

Une question subsiste, qui produit ces vaisseaux perfectionnés ? Il semble qu'ils les testent dans la zone 51 et des lieux similaires, mais qui pourrait les fabriquer ? Des noms dont j'ai entendu parler toutes ces années, tant par Paglen que par des recherches personnelles sont Lockheed, Northrop Grumman, Rockwell, Boeing, nous avons vu Hiller, je suis tombé aussi sur McDonnel Douglas, Hugues Aircraft et General Dynamics. Et je suis sûr qu'il y en a beaucoup d'autres, si on compte aussi les compagnies servant de couverture.

Une autre chose rencontrée durant ma recherche, c'est la station terrestre de satellite de Pine Gap au centre de l'Australie qui est gérée à la fois par le NRO, la CIA et la NSA. Je me souviens avoir entendu dans une conférence ou une interview qu'il y aurait une base souterraine à grande profondeur sous Pine Gap qui serait reliée aux US via un train souterrain à grande vitesse. C'est l'une des nombreuses histoires circulant dans la communauté alternative sur des bases souterraines militaires. Je ne serais pas étonné que ce soit vrai.
[Miles : je ne le crois pas. Ils faudrait qu'ils fassent un tunnel sous l'intégralité de l'océan Pacifique. Ils ont des capacités étonnantes à ce sujet, mais rien de cette envergure. Il a fallu six ans et 20 milliards de dollars pour creuser un tunnel sous la Manche, qui ne comporte que 37 kilomètres sous la mer. Creuser de l'Australie jusqu'à Los Angeles demanderait environ 2000 ans à ce rythme et coûterait 7 trilliards. (et c'est sans compter la profondeur de l'océan Pacifique. Le tunnel sous la Manche n'est qu'à une profondeur de 39 mètres à cet endroit, alors que le Pacifique a une profondeur de 11.000 mètres. Bien que le tunnel sous le Pacifique n'ait pas à franchir la fosse des Mariannes, il devrait passer sous ou contourner de profondes fosses comme celle des Tonga, presque 300 fois plus profondes que la Manche. Ce qui ajouterait 1000 autres années au projet.) S'il y a vraiment un tunnel, ce n'est pas nous qui l'avons creusé.]

Il y a un rapport de la Corporation Rand (qui fait partie de l'US Air Force) datant de 1959 au sujet d'une construction souterraine et un autre de 1972 parlant d'un "système de transport à très grande vitesse" dans des tunnels (21 minutes d'une côte à l'autre – de la côte ouest à la côte est). L'US Air Force utiliserait aussi des machines à énergie nucléaire pour forer les tunnels [d'après les documents de 1974 donnés en lien, je pense que c'est en utilisant une sorte de laser] ;
[Miles : de nouveau, il faudrait environ 600 ans et 2,2 trilliards de dollars pour faire un tunnel de Los Angeles à New-York, si on se base sur la vitesse de percement sous la Manche. Si donc le tunnel existe, ce n'est pas nous qui l'avons creusé. Je suppose qu'il n'existe pas. Ces histoires sont probablement insérées pour nous faire croire qu'ils font quelque chose d'intéressant avec notre argent, en dehors de nous le voler.]

Voici le lien vers un brevet de 1972 déposé par la Commission américaine de l'énergie atomique pour "méthode et équipement de forage de tunnel par fusion et vitrification des roches".


Et un autre daté de 1975 déposé par US Energypour "équipement et méthode pour excaver un grand tunnel dans de la roche dure".

Il semble qu'en dehors des voitures, bateaux, sous-marins, torpilles, avions, missiles, vaisseaux spatiaux et fusées, la propulsion nucléaire sert aussi à forer des tunnels.
[Miles : encore une fois, on cite le nucléaire pour nous égarer. Ces brevets fuités le sont pour confirmer le programme nucléaire. Qui n'existe pas. Oui, ils ont de grosses machines, mais elles ne fonctionnent pas au nucléaire.]
Une photo censée dater de 1982 à Little Skull Mountain, dans le Nevada (au milieu de nulle part)


J'ai également vérifié s'il existe des brevets en lien avec la propulsion spatiale et le césium et j'ai obtenu 64 résultats, mais je ne sais pas s'ils sont d'une quelconque utilité pour votre recherche.

J'ai eu droit aussi à un bonus. Quand je suis allé voir s'il y avait des vidéos officielles du NRO sur YouTube, j'ai remarqué qu'il y avait une vidéo de Steven Greer où il mentionnait le NRO comme étant de vrais maîtres en espionnage, contrairement aux projets de la NSA révélés par Snowden, qui sont selon lui le niveau basique de l'espionnage.

J'ai visionné tout le clip et noté trois choses.

a) Le signe avec trois points sur son maillot qui représente le logo du CSETI (Center for the Study of Extraterrestrial Intelligence, Centre d'étude pour l'intelligence extraterrestre). C'est entre autres un signe franc-maçon bien connu. Ils se nomment même "frères à trois points". Ce signe représente littéralement un frère Maçon. Ils l'utilisent dans leur correspondance et le placent près de leurs initiales et titres de loge. Peut-être une coïncidence avec Greer, mais c'est ce qui m'est venu tout de suite à l'esprit en voyant sa photo prise à distance.

b) À la minute 03:54, il parle d'un groupe de gens qui ont organisé un événement pendant lequel ils voulaient communiquer avec des ET selon les protocoles du CSETI, je pense. L'événement, pour lequel ils avaient "délimité un périmètre de sécurité, un périmètre de radar, et détourné le trafic aérien", devait durer trois nuits sur une propriété de 4000 m² en France appartenant à une famille qui, "ironiquement aida à organiser la révolution française […], en particulier la décapitation de Marie-Antoinette, des vibrations très intéressantes dans cette propriété […]". Eh bien, quelle coïncidence.

c) … propriété en France appartenant à une famille qui, "ironiquement aida à organiser la révolution française, comme le fit la famille de ma mère en Amérique". Première fois que je lis et entends de sa propre bouche qu'il fréquente les Rockefeller et maintenant il dit que la famille de sa mère a aidé à organiser la révolution américaine.
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