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Le mythe des métastases cancéreuses

Nous avons été formatés par la médecine à entendre parler de métastases cancéreuses, c'est à dire qu'une cellule cancéreuse du sein, par exemple, va aller migrer par le courant sanguin ou lymphatique dans les os ou le poumon, et on dit qu'elle s'est métastasée ailleurs....

Trouvez-vous logique que le corps agisse ainsi ?

Vous n'êtes pas sans savoir, même si vous n'avez pas fait d'études poussées dans le domaine de la biologie, que chaque zone du corps produit des cellules bien différenciées et qu'une cellule de foie n'a rien à voir avec une cellule osseuse.

Mais pour la médecine cancérologique, si. 

Le Dr Hamer explique avec bon sens qu'il n'y a pas de métastase, mais qu'il y a la formation d'un autre cancer ailleurs.

Un petit (ou gros, c'est à espérer) pavé est en train de tomber dans la mare. C'est le thème de la newsletter d'Yves Rasir, du magazine Néosanté.

Une fissure dans le dogme des métastases

C’est le Pr David Khayat, chef de service de cancérologie à l’hôpital Pitié-Salpétrière,  qui a relevé cette nouvelle importante dans sa contribution mensuelle au magazine Science & Avenir :  en séquençant le génome de biopsies tumorales, des chercheurs américains se sont aperçus que le profil génétique des métastases divergeait fortement de celui des tumeurs primaires. Ces chercheurs ne sont pas n’importe qui, puisqu’ils appartiennent au Broad Institute de Cambridge, dans le Massachusetts. Fruit de la collaboration entre le célèbre M.I.T. (Massachusetts Institute of Technology) et la non moins célèbre Université de Harvard, cet institut est notamment à la base du Metastasic Breast Cancer Project,  un ambitieux programme de recherche destiné à comprendre comment les tumeurs mammaires, dans 30% des cas environ,  évoluent en métastases et pourquoi ces cellules migrantes résistent souvent aux traitements.  Quand ils sont métastasés, les cancers du sein n’offrent en effet qu’une espérance de survie de 3 ans en moyenne. Et rien qu’aux États-Unis,  150.000 femmes vivent actuellement avec un cancer du sein métastasé. L’enjeu est donc de taille.  En effectuant le séquençage génétique complet de 149 prélèvements tumoraux qu’ils ont comparé au profil génétique des tumeurs primaires, les scientifiques ont découvert de nombreuses différences, des mutations et des altérations qui ne sont pas présentes dans le tissu d’origine. Autrement dit, les cellules voyageuses n’ont plus du tout le même aspect lorsqu’elles arrivent dans un autre endroit du corps et qu’elles y forment une tumeur secondaire.

Cette découverte est  potentiellement cruciale dans la mesure où elle va à l’encontre de ce  qu’on nous racontait jusqu'à présent. Selon la théorie classique du cancer, les métastases (du grec métastasis : changement, déplacement) sont en effet des cellules tumorales qui s’éloignent du site initialement atteint, empruntent la voie sanguine ou lymphatique,  et s’en vont coloniser un  ou plusieurs autre(s) organe(s).  Nul n’a jamais observé ces cellules migrantes dans le sang ou la lymphe ? Qu’à cela ne tienne, la réalité du périple serait attestée par la grande ressemblance entre les cellules de départ et celles qui arrivent à destination. Certes, la science officielle admet que les émigrées n’ont pas tout à fait la même apparence que leurs consoeurs restées sur place. Pour accomplir leur odyssée, on nous explique que les cellules baladeuses doivent acquérir certaines caractéristiques (par exemple la « perte d’adhésion ») qui les différencient des cellules sédentaires.

Néanmoins, on nous soutient qu’il s’agit bien des mêmes agents cancéreux, aisément repérables malgré leur déguisement. Ainsi, si le cancer du sein métastase dans le poumon, la  tumeur pulmonaire est qualifiée de cancer du sein  métastasé et non de cancer du poumon. Or, cette prétendue gémellité est à présent battue en brèche  par les chercheurs du Broad Institute : selon leur étude, les cellules du sein envahissant le poumon sont génétiquement très éloignées d’un tissu mammaire ! On va encore nous dire que le voyage transforme les bourlingueuses, et que leur malignité est décidément diabolique, mais on peut se demander si ce n’est pas le début de la fin pour le dogme des métastases.

Car il s’agit bien d’un dogme, c’est-à-dire d’une vérité assénée bien qu’elle soit très difficile à croire en raison de ses innombrables incohérences et contradictions. Comment se fait-il que le cancer fasse des métastases chez un malade et pas chez un autre ? Concomitamment ou parfois dix ans plus tard ? Par quel miracle une prolifération cellulaire dans l’estomac ou l’intestin peut-elle engendrer une lyse osseuse en migrant vers les os ? Pourquoi les tumeurs primitives essaiment-elles souvent vers les mêmes lieux (poumons, foie, os)  et pourquoi n’entend-on jamais parler de tumeurs allant du cerveau vers un organe ? Dans le sens inverse, qu’est-ce qui explique que les  supposées métastases au cerveau demeurent de structure gliale ? Et est-ce logique que des cellules cancéreuses parviennent à franchir la barrière hémato-céphalique ? Il y a d’innombrables questions sans réponse laissées derrière elle par la cancérologie officielle. En revanche, la vision du Dr Hamer, selon lequel il n’y a pas de cancers secondaires mais toujours de nouveaux cancers générés par de nouveaux conflits psycho-émotionnels, éclaire lumineusement ces nombreuse zones d’ombre. (*) La découverte faite au Massachussets fissure le dogme conventionnel et fait farine au moulin de la  nouvelle médecine psychosomatique.

* (*) À lire ou à relire, l’article « Le mythe des métastases à la lumière de la médecine nouvelle »,  Néosanté  N° 18 de décembre 2012.

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