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Bob Dylan, un imposteur ?

Allez, on n'en est plus à un près.

Vous avez peut-être appris que Bob Dylan a reçu le prix Nobel de littérature au mois d'octobre 2016. Quand on lit ce qui suit, il y a de quoi s'étonner.

L'article qui suit reprend une étude de Miles Mathis. 


Bob Dylan est-il un imposteur ?


Traduit par Hélios

Les satanistes ont récompensé Bob Dylan du prix Nobel de "littérature" pour son rôle dans l'avilissement de la culture contemporaine.



Quand Bob Dylan annonçait qu'il avait "vendu son âme au diable"*, que voulait-il dire ? Miles Mathis suggère que Dylan a trahi son intégrité artistique et son public en échange de célébrité et de richesse. Les Illuminati peuvent rendre n'importe qui célèbre. Ça s'appelle du battage médiatique. Ils choisissent des gens qui feront avancer leur agenda satanique, c'est à dire "le changement social".


*Le site de Makow renvoie à un article de janvier 2011 avec l'extrait d'une interview de Bob Dylan (renvoyant à une vidéo YouTube supprimée depuis). Voici la traduction de l'extrait :


Dans une interview pour Sixty Minutes qu'on peut voir ici [vidéo supprimée], on demande à Bob Dylan pourquoi il continue les tournées malgré son âge avancé.

Cela renvoie à un truc de destinée, j'ai conclu un marché il y a longtemps et je respecteraimon engagement jusqu'au bout.

C'était quoi cemarché ?
D'arriver là où j'en suis aujourd'hui.
Et si je vous demande avec qui vous avez conclu ce marché ?
Avec le commandant en chef.
Sur cette terre ?
Sur cette terre et dans le monde invisible.

De nombreux fans ont affirmé que Dylan parlait de Dieu. Mais qui fait un pacte avec Dieu pour réussir dans ce monde ?



Bob Dylan : agent du changement (janvier 2015)


Par John Hamer

(henrymakow.com)

Dans un récent article, Miles Mathis présente un argument convaincant selon lequel Bob Dylan est un imposteur. Il pense que Dylan n'a pas écrit personnellement ses chansons et même si ses spectacles n'étaient pas dénués de talent, il n'est pas celui qu'on croit.

Dylan, dont le vrai nom est Robert Zimmermann, est né dans une famille juive fortunée de Duluth, dans le Minnesota, qui était propriétaire de cinémas dans la petite ville de Hibbing, Minnesota. Ils étaient déjà dans le commerce de "l'illusion".

Selon Mathis, Hibbing a produit plusieurs personnages douteux dont Vincent Bugliosi, Bruce Carlson et Gus Hall pour n'en citer que trois. Gus Hall est l'ancien dirigeant du parti communiste américain et probablement un "indic" des services du renseignement. Bruce Carlson est directeur du Bureau de Reconnaissance Nationale (une agence de renseignements) et à la tête de l'église mormon, qu'on pense faire partie de l'élite. Vincent Bugliosi fut le procureur qui "poursuivit" Charles Manson, supposé l'un de ceux de la longue liste des indics' de Laurel Canyon. [site d'Hollywood où auraient été tournés les mises en scène d'événements fabriqués]

En 1961, Dylan, âgé de 20 ans, a été "fabriqué" grâce à une critique favorable du New York Times après une brève prestation devant 10 personnes. Il n'était sur scène que depuis six mois et n'avait aucune étoffe originale.
 
La critique a été écrite par un autre juif, Robert Shelton (Robert Shapiro). Charlie Rotshchild était à l'époque l'imprésario de la salle de spectacle où s'était produit Dylan.

MK-ULTRA : "Les temps du changement"


Dans les années 60, le renseignement faisait circuler de nombreuses opérations psychologiques secrètes et utilisait l'industrie musicale comme couverture. Certaines d'entre elles ont depuis été partiellement déclassifiées, comme l'Opération Mockingbird [subversion des médias], MK-ULTRA et d'autres.

Mathis pense qu'il existait une opération à plus grande échelle nommée "opération Rolling stone" conçue pour promouvoir des changements extrêmes sous toutes ses formes.

Comme les êtres humains sont naturellement résistants au changement, soutient Mathis, le changement devait être fabriqué et faire l'objet permanent d'un matraquage. Mathis souligne l'usage constant du titre 'Rolling Stone' comme celui de la célèbre chanson de Dylan, le groupe 'Les Rolling Stones' et également le magazine 'Rolling Stone'.

Mathis pense que le concept 'Rolling Stone' est une création des agences du renseignement en tant qu'ingénierie sociale. Dans les "Protocoles des Sages de Sion", l'auteur dit trois fois, notre leitmotiv est "la Force et le faire-semblant" (Protocole 1).


"Faire-semblant" est la "magie" illuminati. La magie est simplement tromper ou mentir, ce qui est simple quand on possède des médias de masse et des éducateurs. Le magicien noir Aleister Crowley définissait la magie comme "une science et le fait d'occasionner un changement en conformité avec le désir… tout changement désiré en nous ou dans notre environnement est de la magie".

La CIA s'est emparée de tous les médias en 1961. Ce qui peut expliquer pourquoi Columbia avait tellement hâte de signer avec un Dylan de 20 ans virtuellement inexistant. Toute la carrière de Dylan a donc été sans doute pré-planifiée.

Columbia ne l'avait entendu interpréter aucune chanson originale, parce qu'il n'en avait pas à l'époque. Il n'y avait que deux compositions originales sur son premier album, qui ne sortit qu'en 1962.

PLAGIAT ?

En 1963, Newsweek accusa Dylan de plagiat, suggérant que 'Blowin' in the Wind' avait été acheté à un lycéen. Comme le souligne Mathis, si Dylan avait écrit la chanson, Columbia aurait intenté un procès à Newsweek dès la parution de l'affaire. Si Dylan n'a pas écrit sa plus célèbre chanson, quoi penser de lui en tant qu'auteur-compositeur ?

En 1965, Dylan quitta la scène du Newport Folk Festival sous les huées, sous prétexte de 'guitare électrique'. Mathis pense que les 'vrais' fans de folk savaient qu'il était un imposteur mais en 1969, l'infiltration du mouvement anti-guerre était achevée, on n'avait donc plus besoin de Dylan. Il a donc été mis de côté.

Mathis postule aussi qu'après le Watergate, Dylan fut repris par Columbia en 1974 dans le cadre d'une grande diversion pour empêcher le public américain de remarquer que la CIA venait de finaliser sa prise de pouvoir sur le gouvernement.

Mathis pense que l'agent juif Leonard Cohen était le 'nègre' de Dylan. La maison de disques de Cohen était aussi Columbia. D'autre part, cela expliquerait aussi ce que Joni Mitchell disait en 2010, parlant de Dylan : "C'est un plagiaire et ses nom et voix sont bidons. Tout ce qui concerne Bob est de l'arnaque. Nous sommes lui et moi comme le jour et la nuit".

Joni Mitchell fréquentait Cohen depuis un moment, elle devait donc le savoir. Elle a même eu l'occasion de changer d'avis, mais elle refusa.


Et comme le souligne Mathis, pourquoi Dylan ou sa maison de disques n'ont-ils pas poursuivi Mitchell pour diffamation ? Une accusation de plagiat est parmi l'une des plus graves dirigée contre un auteur-interprète.

En tant 'qu'ancien' fan de Dylan, Mathis conclut, "… Ce n'est pas plus facile pour moi que pour vous… ça fait mal. Le talent et le vrai art sont assez rares en dehors des programmes de désinfo du gouvernement… plus récemment, Dylan a fait des pubs pour Chrysler… c'est comme voir Gandhi égérie de Monsanto ou Martin Luther King prenant fait et cause pour les produits pharmaceutiques de Pfizer."

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Note : le fils aîné de Dylan, Jesse Dylan, est membre du CFR (Council on Foreign Relations)


Photo envoyée par un lecteur : logo de la tournée de 2006, un "tour sans fin", avec l'oeil d'Horus ou oeil-qui-voit-tout.

 

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