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Orochimaru’s three great battles in Naruto’s

I have played so many naruto games, and I love Naruto OL the most among all these games. You can see it from the title of the game, and the reason that I like this game so much is that it has high adaptation to originality. This game is really the best.


Orochimaru is considered as a really powerful ninja in Narutogame, he is one of the Sannin in Konoha, he has his own exceptional attack with powerful effect. In this mmorpg game, Orochimaru has three classic battles that occurred, and these battles had huge impact on Orochimaru.

First battle: Orochimaru VS Hiruzen Sarutobi


Hiruzen Sarutobi raised Konoha’s Sannin, and named as The Professor, but he was killed by his own disciple Orochimaru. During the battle, Orochimaru used Edo Tensei to summon First Hokage and Second Hokage. And these two characters were really powerful, and Third Hokage was unable to defeat them all, so he used Reaper Death Seal to seal Orochimaru’s both hands and the two Hokage.

Second battle : Sannin War


Jiraiya together with Tsunade and Naruto fought Orochimaru and Kabuto in Naruto game. In this battle, the Sannin summoned their Summons, but because Orochimaru’s hands were useless, Jiraiya was poisoned by Tsunade, and Tsunade’s haemophobia seizured. Finally , there were no victory nor defeat shown, instead Naruto performed his first Rasengan and defeated Kabuto Yakushi.

Third battle : Orochimaru VS Naruto



This was an important battle, as grown up Naruto was searching for Sasuke, he encountered Orochimaru under the scheme of Captain Yamato. During this battle, because Naruto was unable to control his emotions and he transformed into mini form Tailed Beast. The Tailed Beast Naruto consumed his own Tailed Beast Ball and then released it towards Orochimaru. As Orochimaru used Triple Rashomon, it was still destroyed and his stamina was finally diminished, he escaped and decided to get Sasuke’s body as soon as possible.

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Bientôt 12 vaccins pour les bébés en France ?

Je reproduis ici et amende  légèrement certains extraits d'une série d'articles de la très prolixe Claudina MICHAL-TEITELBAUM sur le blog ''docteur du 16", à lire ici

Bien que n'étant pas professionnel de la santé, je déclare ne pas avoir de conflits d’intérêts avec des sociétés fabriquant ou exploitant des vaccins.
Je déclare aussi être très sceptique sur le bénéfice réél des vaccins en général, sans toutefois être un anti-vaccinaliste forcené. 

Le ministère de la santé envisage de porter à 11 au lieu de 3 le nombre des vaccins obligatoires pour les nourrissons.
Cette mesure serait « transitoire », nous dit-on, et aurait étrangement pour objectif de regagner la confiance des Français en la vaccination. Une confiance qui aurait été perdue et serait la cause d’une baisse de la couverture vaccinale. En réalité la couverture vaccinale des français n'a jamais été aussi élevée d'après le rapport Hurel de janvier 2016, c'est donc un prétexte grossier. Quant à la confiance vaccinale, elle est de 79% en 2015, en hausse de 18% par rapport à 2010. Prétexte grossier itou.

En revanche, il est tout à fait certain que les attentes et les exigences en matière de vaccination, concernant le nombre de vaccins et la couverture vaccinale, de la part des pouvoirs publics se sont accrues de manière accélérée pendant ces dernières années, sans que cela soit justifié par des besoins nouveaux identifiés.


Les vaccins abordés dans ce texte sont le BCG, ceux contre le papillomavirus (même aux garçons !), le rotavirus, le ROR, la diphtérie, la coqueluche, le pneumocoque, l’hépatite B et le méningocoque.
En France, comme dans une grande partie de l’Europe, la quasi-totalité de ces vaccins habituellement utilisés chez l’enfant et l’adolescent sont fabriqués par quatre laboratoires : Sanofi Pasteur, GSK, Pfizer, et MSD (ou Merck Etats-Unis).

Je voudrais aborder un sujet qui n'est jamais évoqué par les experts, à savoir la mortalité liée aux maladies que ces vaccins nouvellement obligatoires sont censés éviter :

Les chiffres de mortalité retenus seront ceux de la tranche 0 à 24 ans.

Diphtérie, tétanos et poliomyélite : estimation impossible, puisque toute la population est vaccinée.

Oreillons; Rubéole, hépatite B : 0, la maladie n'est pas mortelle dans cette tranche d'âge.

Rougeole : 10 à 35 décès par an,
Méningites à Haemophyilus B : 30 à 40 décès par an,
Pneumocoque : 30 à 40 décès par an,
Coqueluche : 1 à 16 décès par an.

Total : 49 à 113 décès par an, (données invs).

Selon les recommandations, pour prévenir ces maladies, le tétanos et la diphtérie, on devrait injecter à cette population des 0-24 ans environ 30 millions de valences vaccinales chaque année (38 valences différentes à différents âges, sans compter le vaccin contre le papillomavirus) pour espérer, éventuellement, sans garantie de succès, réduire le nombre de ces décès, à condition d’accepter, en contrepartie, un nombre inconnu d’effets indésirables graves, y compris des décès.

Une étude publiée par Daniel Floret, actuel président du comité technique de vaccination, portant sur les décès dus à des infections invasives en France en 1999-2000 avant l’âge de 18 ans chez des sujets sans pathologie associée, nous apprend que la moyenne des décès est de 50 par an, que 25% des décès avant 18 ans, sont dus à des bactéries non ciblées par la vaccination, que 70% de ces décès ont lieu avant l’âge d'un an, et qu’aucun cas de décès dû au pneumocoque répertorié dans l’étude n’est dû à une résistance aux antibiotiques. Cela ne tient pas compte des infections materno-fœtales à streptocoque B, contre lesquelles il n’y a pas de vaccin, et qui provoquent environ 20 à 40 décès par an, essentiellement pendant les premières semaines de vie.

Pour résumer, nous aurons 30 millions de valences administrées pour éviter au mieux 113 décès par an, et probablement beaucoup plus près de 25.

Ce qui nous donnera tous les ans 30 millions d'opportunités de générer des effets secondaires graves (y compris des décès, j'insiste) qui seront présents à vie chez au minimum 100 fois plus d'enfants qu'en l'absence de campagne de vaccination.
Et bien sûr, au-delà de ces effets secondaires graves, il y aura tous les effets que la pharmacovigilance ne qualifie pas de graves, quand elle n'omet pas tout simplement de les répertorier ... Là on sera dans les dizaines de millers de fois de plus que de vies "sauvées" ... à vie ...

Conclusion : Pour la plupart des vaccins analysés ici, ceux contre la coqueluche, contre le pneumocoque, contre l’hépatite B, contre le méningocoque, le rapport bénéfice–risque et coût-efficacité d’une vaccination généralisée est manifestement et fortement défavorable, en tout cas en France. Seuls les scenarii éternellement optimistes du Comité technique de vaccination et des experts, s’employant à surestimer les bénéfices et à ignorer les risques, peuvent faire croire le contraire.

Et une mauvaise nouvelle : alors que la mortalité des moins de 15 ans a diminué d’environ 40% pendant les 15 dernières années en France, l’idée d’une obligation vaccinale étendue progresse en Europe. Ainsi, le 20 mai 2017, l’Italie a rendu obligatoires 12 vaccins pour les nourrissons







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Hommage à Frédérick Leboyer

Vous ne le connaissez peut-être pas, mais c'est un très grand bonhomme que le monde a perdu. C'est lui qui a enclenché la méthode de la "naissance sans violence", permettant aux nouveaux-nés d'arriver dans leur incarnation avec un meilleur confort. Ma fille aînée a bénéficié de cet accouchement dont je garde un souvenir ému...
Yves Rasir, éditeur du magazine Néosanté nous retrace le parcours de Frédérick Leboyer.

(J'ai ajouté une vidéo en fin d'article)

       Hommage à Frédérick Leboyer


Triste coïncidence : alors qu’un de mes derniers éditoriaux mentionnait son nom, Frédérick Leboyer vivait ses derniers jours d’incarnation. Il s’est éteint le 25 mai dernier, en Suisse,  à l’âge de 98 ans. Ce très vieux monsieur est décédé dans un quasi anonymat, sans qu’aucun grand média n’en parle, hormis le site d’un hebdomadaire resté suffisamment observateur. Si le Dr Olivier Soulier n’avait pas signalé cet article isolé dans sa newsletter, je serais peut-être passé moi-même à côté de l’information sur la disparition de ce grand homme du XXème siècle. Car le Dr Frédérick Leboyer, gynécologue et obstétricien français né à Paris en 1918, était un personnage hors-du-commun qui mériterait d’être enterré au  Panthéon et de figurer dans tous les livres d’histoire. La médecine a perdu avec lui un de ses plus estimables représentants,  un être de grande valeur auquel les jeunes générations de femmes et d’enfants  doivent une fière chandelle et dont elles devraient saluer la mémoire. C’est lui, en effet, qui est à l’origine d’une des plus grandes révolutions médicales du siècle passé,  et à mes yeux la plus grande d’entre elles. C’est lui, sorte de synthèse entre Gandhi et  Albert Schweitzer,   qui aurait mérité tout à a fois le Prix Nobel de Médecine et le Prix Nobel de la Paix. C’est Frédérick Leboyer qui a changé  le destin des habitants de la terre en plaidant « Pour une naissance sans violence », titre du livre qui l’a fait connaître en 1974 et qui a bouleversé progressivement les habitudes dans les maternités.


Il faut en effet savoir d’où on  vient.  Les moins de 50 ans l’ignorent, mais l’obstétrique a connu une véritable mutation durant les dernières décennies. Quand je suis né, en 1960, j’ai encore subi le calvaire de ce qui était alors la norme en matière d’accouchement : dans une salle froide, bruyante et  éclairée comme un bloc opératoire, un gynéco en tenue de chirurgien m’a sans doute brutalement extrait de l’utérus maternel, m’a suspendu en l’air par les pieds et m’a donné une claque sur les fesses pour déclencher mon premier cri. À cette époque, c’était la façon habituelle d’accueillir les nouveau-nés. On était tellement persuadé que les bébés ne ressentaient rien, qu’ils n’éprouvaient pas la douleur, qu’il était même courant de les opérer sans anesthésie !  Les suspendre comme un morceau de viande et vérifier leur bon fonctionnement en les frappant, c’était la manière classique de leur souhaiter la bienvenue. Ensuite, il est très probable que l’accoucheur a coupé immédiatement le cordon ombilical et que les infirmières se sont empressées de m’emmener pour me laver, me peser et me faire passer une série d’examens intrusifs. De très longues minutes ont dû s’écouler avant qu’on me ramène à ma mère et que je sois mis en contact avec sa peau et sa poitrine nourricière. Et encore ! J’ai eu la grande chance que ma maman décide d’allaiter car en ce temps-là, le mythe débile selon lequel le biberon pouvait  remplacer le lait de femme faisait déjà des ravages. Je n’en ai pas la preuve, mais j’ai certainement été privé du colostrum, victime de la même croyance imbécile en l’infériorité des sécrétions naturelles. En ce temps-là, les sage-femmes étaient reléguées dans l’ombre et la brutalité médico-masculine s’exerçait sans retenue contre les parturientes et leur progéniture.

Frédérick Leboyer fut lui-même une victime de cette époque barbare. Il était né post-mature et son extraction aux forceps fut une épreuve épouvantable pour sa génitrice. Plus tard, il fut un des premiers à endormir les femmes au chloroforme pour leur permettre d’accoucher sans douleur.  Son vécu de nourrisson l’avait traumatisé et il voulait à tout prix que naissance ne rime plus avec souffrance. Mais deux événements vont alors modifier son parcours d’obstétricien-anesthésiste. D’abord, au cours de la psychanalyse qu’il vient d’entamer, il prend conscience que ce n’est pas par pure bonté qu’il endort les accouchées. « En les empêchant de crier, de hurler, c’est la souffrance de ma mère, ce sont ses cris, et mes cris à moi aussi que j’essayais d’effacer. Ce fut très dur de découvrir ça » confiera-t-il dans une interview. Ensuite, le gynécologue français fait un voyage en Inde et découvre dans ce pays une tradition de l’accouchement naturel,  tout en douceur pour le bébé et avec moins de douleur  pour la maman. Il revient en France et jette les bases de ce qui deviendra « La méthode Leboyer », une manière d’accoucher prévoyant notamment la relaxation pendant le travail, le silence et la pénombre, et surtout l’accueil sans violence du bébé placé immédiatement et délicatement  sur le ventre de la mère, la coupure du cordon et les premiers soins étant reportés à plus tard. Avant de publier l’ouvrage qui fera tant de tapage, Frédéric Leboyer a voulu être sûr que son approche n’était pas nocive pour les nouveau-nés et il a demandé à la psychologue Danielle Rapoport de pratiquer des « baby-tests » sur 1000 enfants nés de la sorte. C’est quand elle lui a confirmé que ces enfants allaient bien à tous points de vue que « Pour une naissance dans violence » a déboulé dans les librairies, bousculé les mentalités et fait basculer l’obstétrique dans une ère nouvelle.

Pourtant, ce livre a été très attaqué à sa sortie, aussi bien par les médecins conservateurs que par les militantes féministes de la péridurale. Lassé par les critiques, mais aussi guidé par l’intuition que son traumatisme de naissance était réparé et qu’il pouvait suivre sa légende personnelle, son auteur a d’ailleurs rendu sa blouse blanche pour devenir écrivain, poète et réalisateur de films. Cliquez sur sa page wikipédia pour avoir une idée de l’étendue de son œuvre. C’est lui, entre autres, qui a fait également connaître en Occident le Shantala, l’art hindou de masser les bébés. Quand ma femme et moi avons décidé de procréer, à l’aube des années 90, nous avons lu le livre du Dr Leboyer. Nous avons également suivi le séminaire de préparation naturelle à la naissance  du naturopathe André Passebecq, qui s’en inspirait partiellement. Et nous avons lu aussi les premiers bouquins du Dr Michel Odent, qui fut  le premier à adopter la « méthode Leboyer » dans sa maternité de Pithiviers  et qu’il a approfondie dans le sens d’un plus grand respect encore des processus naturels et physiologiques de la naissance. Mon épouse et moi avons eu la grande chance de trouver une gynécologue et une maternité qui appliquaient à peu près tous les principes de l’accouchement naturel sans violence. Nos trois filles sont nées à la clinique de Braine-l’Alleud, près de Bruxelles,  pionnière à l’époque mais aujourd’hui imitée dans de nombreux établissements. Désormais, il est  aisé de trouver un lieu où la femme peut ne rien précipiter, se relaxer en baignoire, choisir sa position de délivrance, accoucher dans un espace « cocoon » démédicalisé avec musique douce et lumière tamisée, et accueillir son enfant à peine sorti sur sa peau et à son sein.  Cette révolution, on la doit à Frédérick Leboyer !

Si je lui rends ce si vibrant hommage, c’est parce que je suis convaincu que l’humanisation de la naissance est un immense et magnifique cadeau fait à l’humanité pour les siècles des siècles. Comme la psychanalyste Françoise Dolto l’a également découvert de son côté,  le bébé est une personne douée dès le départ d’une vive sensibilité, une véritable éponge émotionnelle et un être de langage dont toute l’intelligence précoce s’exprime dans l’inconscient du corps. Et comme le savent aujourd’hui les praticiens en décodage psychobiologique, tout ce qui s’imprime  lors du vécu périnatal retentit durablement sur la santé globale du futur adulte.  Bien sûr, il reste encore énormément à faire pour  enrayer la médicalisation de la naissance  et renouer avec l’art naturel de donner la vie. Les avertissements du Dr Odent sur les méfaits d’autres interventions funestes (césariennes, déclenchements, ocytocine synthétique…)  demeurent trop ignorés et demandent à leur tour la prise de conscience que l’acte de (faire) naître est un processus sacré où l’artifice n’a pas sa place, ou ne devrait pas l’avoir. Mais Leboyer a accompli l’exploit de faire reculer l’interventionnisme obstétrique occidental  et celui de susciter l’intérêt pour la sagesse orientale.  En montrant la voie du mieux-naître, il a donné sa chance à l’avenir.


Yves Rasir

PS: Qui mieux que le Dr Michel Odent pouvait prononcer l’éloge  de Frédérick Leboyer ? Le mensuel Néosanté aura le grand honneur de publier le texte rédigé par Miche Odent en apprenant le décès de son ex-confrère obstétricien. Il y  relate des anecdotes éclairant la forte personnalité de Leboyer et certains propos illustrant combien l’auteur de « Pour une naissance sans violence » s’était distancié de la médecine occidentale moderne. Ce sera dans notre numéro de septembre puisque la revue Néosanté de juillet était déjà bouclée et qu’elle ne paraît pas en août.

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Powerful Weapons in Naruto Online

Recommend a pretty good game called Naruto Online to you guys. It has exquisite images and various ways to play and a lot of content are adapted from the anime, so I like this game very much.
Besides Ninjutsu, there are also many ninja tools or weapons in Naruto and some of them are very powerful!


Blade of the Thunder Spirit:
As a blade of Second Hokage of Konoha, it is one of the sharpest ninja tools and has infinite power of thunder. It can be invincible when used with Flying Raijin Kunai. Later Sasuke made it cracked by hitting it with Chidori and Nauro broke it by Rasengan when they got it back after it was stolen.


Snake Sword:
It is Orochimaru’ weapon, which is said to be able to hew everything, and the Third Hokage was dead of this sword in Narutogame. It is probably that Sasuke also used the same sword later.


Cudgel:
Actually it is not a weapon but a Summon Monster of the Third Hokage. Enma can change itself into different forms and use Ninjutsu so Orochimaru said it’s the most powerful Contract Summon Monster.

Leaf Fan:
As Uchiha Madara’s weapon, which was made from a part of the Divine Tree, it can better control Fire Style by using Wind Style and make Ninjutsu rebound on others like what it once did to Naruto’s Small Bijyudama. As the badge of Uchiha Clan, Leaf Fan symbolizes their proficiency in Fire Style. Uchiha Obito has also used the fan.


Samehada:
It can absorb enemy’s Chakra and transfer it to the user. Hoshigaki Kisame had used it and later it became Killer Bee’s weapon.


Treasured Tools of Sage of the Six Paths:
Palm Leaf Fan, Golden Rope, Seven Star Sword, Red Gourd and Amber Purification Jar form a ninja kit whose main strength is sealing. They were first used by Kinkaku and Ginkaku and later were acquired by Tenten.
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D'époustouflantes sculptures en sable

Après l'inquiétante chapelle de Sansevero, passons à un sujet plus léger, si je puis dire, approprié aux vacances d'été qui approchent. Des idées pour vos enfants sur la plage ?

Les époustouflantes sculptures en sable de Toshihiko Hosaka


Hosaka a gagné le premier prix au récent concours de Taïwan avec sa sculpture en sable de l'escrimeur légendaire, Miyamoto Musashi.
Oddity Central

Traduit par Hélios

En regardant les sculptures incroyablement détaillées de Toshihiko Hosaka, on a peine à croire qu'elles sont en sable fin et non en une sorte d'argile. Mais il n'utilise que du sable, son talent et ses 20 ans d'expérience.



Hosaka, âgé aujourd'hui de 43 ans, fait des sculptures de sable depuis qu'il va à l'école et il perfectionne son talent depuis 20 ans. Il peut aujourd'hui créer des chef-d’œuvres grandeur nature sans moule ni colle, avec simplement du sable et quelques outils de sculpteur en métal.

Les outils

Il passe des heures, parfois même plusieurs jours à sculpter des monticules de sable mouillé, mais le résultat est toujours saisissant.



Il est vraiment dommage que l'art du sable soit éphémère, mais pour conserver un peu plus longtemps ses belles créations, le talentueux artiste Japonais les vaporise avec une substance spéciale qui durcit la surface du sable, le protégeant ainsi pendant quelques jours du soleil, du vent ou de la pluie qui les endommageraient. Il a même collaboré dans le passé avec une société pour créer un "vaporisateur spécial art du sable" écologique.

Hosaka pose devant son "tyrannosaure" dans la préfecture de Chiba (2016)
"Kraken", Taïwan (2016)



"Le diseur de bonne aventure", Shangaï (2016)
"Godzilla", Shinjuku, Japon (2015)


"Alice", préfecture d'Akita (2016)
"Asura", préfecture d'Akita (2015)

Toshihiko Hosaka est aujourd'hui reconnu comme l'un des plus talentueux artistes au monde dans l'art du sable. Il a participé à de nombreuses compétitions un peu partout, et en a gagné plusieurs. Son dernier succès a été au Fulong International Sand Art Festival à Taïwan, où il a reçu le premier prix pour une magnifique sculpture du légendaire escrimeur japonais Miyamoto Musashi.
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What Are the Most Powerful Clans in Naruto game?

Naruto is a very great anime which has deeply moved and inspired me. A few Naruto games have been launched this year and the best is Naruto Online in which you can collect many ninjas and relive those stories.


Uchiha Clan should be the most famous clan for using one of the three Dojutsus, Sharingan. They are descendants of the eldest son of Sage of the Six Paths, Indora, and they have inherited the Sage Eye. Uchiha Clan are good at using Fire Style and their badge is Leaf Fan which can control fire.


Senju Clan are descendants of the youngest son of Sage of the Six Paths, Ashura, and distant relatives of Uzumaki Clan and they have inherited the Sage Body in Naruto game. Both Hashirama Senju and Tobirama Senju are members of the clan.


Uzumaki Clan, living in Hidden Whirlpools Village in the Land of Whirlpools, is not a big clan but has a long history. All the members are very tenacious and are good at Sealing Jutsu and they can suppress Tailed Beasts with great Chakra. Naruto is a member of the clan.

As the oldest clan in Konoha, Hyuga Clan have powerful Byakugan and can use Jyuken.
Hohzuki Clan, whose members include the Second Mizukage, Hohzuki Suigetsu and Hohzuki Mangetsu, have special abilities but not Kekkei Genkai.


Hidden Sand Village is where Gaara’s clan live. Both Gaara and his father, the Fourth Kazekage, have the ability to control sand. His elder brother, Kankuro, and elder sister, Temari, are also very powerful and they can be the best soldiers of Hidden Sand Village.

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L'étrange et sinistre chapelle de Sansevero

Dans sa série "les sites sinistres, Vigilant Citizen nous emmène aujourd'hui à Naples découvrir une très curieuse et très inquiétante chapelle.

Sites sinistres : la chapelle Sansevero



Traduit par Hélios

Les légendes locales relatives à la chapelle Sansevero de Naples racontent que les œuvres d'art qu'elle renferme ont été produites par sorcellerie et magie noire. Les sculptures semblent des créations manuelles impossibles et le bruit court que des meurtres rituels seraient à l'origine des deux vrais corps humains exposés de manière macabre dans une vitrine. Un symbolisme maçonnique important ajoute à l'aura occulte qui plane sur la chapelle. 
 
Au premier abord, la Capella Sanseveroest une chapelle italienne typique du 17ème siècle, élégamment décorée de peintures et de sculptures de nature religieuse. Un regard plus approfondi sur les divers éléments de la chapelle révèle pourtant un endroit "bizarre". Certaines sculptures ont un aspect si "organique" qu'elles amènent beaucoup de gens à penser qu'elles sont le résultat d'un processus surnaturel. De plus, le symbolisme énigmatique de la chapelle tend largement vers un message ésotérique sous forme d'allégorie.

Et quand les visiteurs descendent quelques marches, ils voient ceci :
Hein ?

Dans la chapelle sont exposés deux vrais cadavres humains qui exhibent en détail leur réseau sanguin. Sinistrement surnommés "Adam et Ève" – et encore plus sinistrement appelées "Machines Anatomiques" – ces représentations étranges ont fait l'objet de toutes sortes de rumeurs touchant à l'occulte.

Pour pleinement comprendre ce qui se passe dans cette chapelle, nous devons apprendre à connaître son créateur : Raimondo di Sangro, prince de Sansevero. Bien qu'on l'ait maintes fois considéré comme un inventeur et un philosophe brillant, certains pensent qu'il était un magicien noir cruel qui faisait assassiner des gens pour mener d'inquiétantes expériences.


Une visite à sa chapelle prête foi aux deux points de vue en affichant tout le génie alchimique de di Sangro … et sa folie. Avant d'examiner les œuvres d'art étranges exposées dans la chapelle, découvrons d'abord l'homme derrière tout ceci.

Raimondo di Sangro, le "prince sorcier"


Dès l'âge de 10 ans, di Sangro part étudier au collège jésuite de Rome. En 1730, âgé de 20 ans, il revient à Naples en se donnant le titre de "prince de Sansevero". Il rejoint bientôt les rangs de sociétés secrètes occultes.
"Malgré la formation religieuse reçue des jésuites, le jeune homme se joignit rapidement à la fraternité secrète des Rosicruciens, où il fut initié à d'anciens rituels d'alchimie, l'art qu'on nommait "sacré" ou "art royal", transmis aux disciples au fil des siècles depuis les prêtres de l'Égypte. Don Raimondo avait trouvé sa voie. Tout en gardant le silence le plus complet sur "ses frères" et les enseignements reçus (il ne gardait aucun document quel qu'il soit sur les activités de la secte mystérieuse), le prince changea radicalement de vie et se consacra corps et âme à l'alchimie. Des fioles, fours et alambics s'entassaient dans la cave du palais et il n'était pas rare la nuit de voir d'étranges vapeurs colorées et de sentir des odeurs écœurantes s'échapper des fenêtres à barreaux de la cave du palais. Ce fut à cette époque que les Napolitains se mirent à le traiter de sorcier". – Rino Di Stefano, Raimondo de Sangro, the “Sorcerer” Prince

Di Sangro introduisit la Franc-Maçonnerie dans sa cité suite à sa nomination comme Grand Maître de la loge maçonnique de Naples. Ce fait, combiné à son savoir-faire dans de curieuses inventions, telle la "flamme éternelle" créée à partir d'un composé chimique de sa fabrication et d'os de crânes humains, ne fit qu'accroître la légende entourant Di Sangro.
"Le prince Raimondo di Sangro avait la réputation d'un homme excentrique, énigmatique et mystique. À Naples, il commandait la loge maçonnique, dont les symboles parsèment la chapelle et il étudiait de nombreux domaines scientifiques ainsi que l'alchimie et autres disciplines mystiques. Il parlait aussi plusieurs langues exotiques comme l'hébreu et l'arabe et c'était un inventeur, certaines de ses inventions étant plutôt bizarres, comme le chariot mécanique [un automate] attelé à des chevaux en bois qui pouvait voyager aussi bien sur terre que sur l'eau. Ces excentricités conduisirent le prince à acquérir la réputation d'un pratiquant de sorcellerie et de magie noire et les rumeurs abondèrent, alléguant qu'il réalisait de sinistres rituels de magie, des sacrifices humains et qu'il jetait des sorts. On disait aussi qu'il pouvait réaliser de grandes choses avec l'alchimie, comme par exemple créer du sang à partir de l'eau ou même de toutes pièces et qu'il utilisait diverses parties du corps de ses victimes sacrifiées pour ses infâmes envoûtements et ses potions. On disait que le prince s'enfermait pendant plusieurs jours de suite et se livrait à des expériences démentes sur des êtres humains, comme faire revenir des morts à la vie. Ces sombres rumeurs et légendes qui entouraient le prince firent qu'on se mit à le craindre et à l'éviter ; un vrai sorcier maléfique qui pouvait manipuler la magie et les forces naturelles à sa guise. Le prince ne fit rien pour démentir ces rumeurs et on pense même qu'il les encourageait."
– Brent Swancer, The Bizarre Anatomical Machines of Italy
L'une des nombreuses marottes de di Sangro était le "Bel Canto". Comme c'est beau, n'est-ce pas ? Qui n'apprécie pas les belles voix ?

Mais pour di Sangro, le Bel Canto c'était acheter de jeunes garçons à des parents sans le sou, les faire castrer et les obliger à chanter.
"Bien qu'ayant goûté aux plaisirs de la vie en famille et père de plusieurs enfants (…), le prince appréciait de parcourir ses nombreux domaines à la recherche de jeunes garçons possédant de belles voix. Il les trouvait en général parmi les chanteurs d'église. Puis il les "achetait" à leurs parents (de pauvres paysans illettrés avec une famille nombreuse dans la plupart des cas) et les faisait castrer par son médecin personnel, don Giuseppe Salerno. Il les cloîtrait ensuite dans le Conservatoire des Pauvres de Jésus-Christ à Naples, où ces jeunes castrats démarraient leur carrière de "sopranos".
(…)
Le castrat était pour lui une recherche de la perfection, qui, selon les Rosicruciens résultait d'une "annulation du dualisme créé par la séparation, un retour à l'être androgyne primordial".
– Ibid.
Comme la réputation de di Sangro se répandait et que ses écrits gagnaient en popularité, il se fit de puissants amis et des ennemis tout aussi puissants. Son implication dans la Franc-Maçonnerie conduisit à la censure de ses écrits et à son excommunication par l'Église catholique.

Il passa les derniers jours de sa vie à décorer la chapelle San Severo, transformant ce petit monument en une grandiose représentation du "chemin alchimique et maçonnique vers l'illumination".

Un temple occulte mystérieux


Avant d'être transformée par Raimondo di Sangro, la chapelle Sansevero faisait déjà l'objet de rumeurs bizarres. On disait qu'elle avait été construite sur un ancien temple consacré à Isis et pour prouver ce fait, les gens du coin montrent une statue massive du dieu du Nil située tout près.
La statue du dieu du Nil à Naples
Pour ajouter une touche sinistre, le palais Sansevero fut la scène d'un meurtre brutal à la fin du 16ème siècle, quand le compositeur Carlo Gesualdo surprit son épouse avec son amant dans son lit et les trucida. Jusqu'en 1888, un passage reliait le palais Sansevero à la chapelle.

Ce fut cependant lorsque Raimondo di Sangro transforma cette chapelle en projet alchimique que le site devint une attraction, dans les cercles occultes en particulier. En dehors de l'énigmatique "message secret" de la chapelle, ce sont les œuvres d'art qui mystifient les visiteurs. Elles semblent déclarer avec audace : "J'étais occultiste et voici ce que j'ai été capable de faire".

Ces œuvres d'art sont vraiment uniques, puissantes et dérangeantes, obligeant les visiteurs à se demander : "Comment a-t-il fait cela ?" Et, quand on connaît les antécédents ésotériques et alchimiques du prince, les observer conduit à la question : "Cela a-t-il été réalisé par un procédé occulte ?"

L'exemple le plus convaincant en est le Christ Voilé. Placée au milieu de la chapelle, cette sculpture du Christ recouvert d'un fin voile est de nature à susciter le trouble : comment cette sculpture en marbre taillée dans un bloc à l'aide d'un ciseau a-t-elle été faite ? Le voile est trop… réaliste.
Le Christ Voilé
Gros plan du visage

"Achevée en 1753 par Giuseppe Sanmartino et commandée par Raimondo di Sangro, elle représente le Christ gisant après la crucifixion et recouvert d'un voile transparent. Ce voile est rendu avec une telle subtilité qu'il trompe presque le regard et l'effet est vraiment frappant de visu : on a l'impression que la "vraie" sculpture repose en dessous et qu'on pourrait facilement saisir le linceul et le soulever.

C'est précisément en raison de l'extraordinaire virtuosité de Sanmartino pour sculpter le voile que la légende entourant ce Christ se perpétue – en mystifiant encore parfois les experts en art.

La légende veut que le prince, qui commanda l'ouvrage, a fabriqué lui-même le voile, le déployant sur la sculpture de Sanmartino en le pétrifiant grâce à une méthode alchimique de son invention ; d'où la phénoménale fluidité de la draperie et la "transparence" du tissu".
– Bizarrobazar, The Mystery of Chapel Sansevero
Depuis des siècles, cette sculpture, ainsi que d'autres dans la chapelle, alimente une "sombre légende" selon laquelle le prince utilisa un mystérieux procédé alchimique pour "marmoriser" le fin tissu placé sur la sculpture.
Le Christ Voilé vu du dessus
Certains observateurs ont remarqué que cette sculpture présentait un détail troublant : le Christ semble encore respirer.
"Il pourrait exister une autre petite "anomalie" sur le Christ voilé, car il y a un léger creux à l'aplomb de la narine, comme si le linceul était aspiré par la respiration – serait-ce un "Jésus mort" toujours vivant ? Di Sangro croyait-il que Jésus n'était pas mort sur la croix ? Si c'est le cas, peut-être n'était-il pas seulement franc-maçon mais membre d'un autre ordre encore plus mystérieux ?
Jésus disparut de son tombeau – mais il n'est pas le seul. On peut toujours voir la tombe du prince dans la chapelle. Il mourut le 22 mars 1771 "d'une maladie soudaine causée par ses expériences de mécanique". Durant les longues nuits passées dans son laboratoire, il avait probablement inhalé ou ingéré une substance toxique, qui cette fois-là s'est révélée mortelle. Son sarcophage, malgré tout, ne contient pas son cadavre ; quelqu'un l'a volé. On ne sait toujours pas quand ni pourquoi.
Raimondo avait fait poser une plaque dans la chapelle, mentionnant que la personne qui avait commandé ces œuvres (c'est à dire lui-même) était animée du désir "d'étonner, de découvrir et d'enseigner".
– Phillip Coppens, The Alchemical Chapel
À gauche du Christ Voilé se trouve La Chasteté, sculpture ayant pour modèle la mère de di Sangro, Cecilia Caetani d'Aragon. La femme nue, couverte de la tête aux pieds d'un fin voile, révèle ses formes dans le moindre détail. Cette œuvre d'art est, encore une fois, un autre exploit "surnaturel" de sculpture. Comment cet effet peut-il être rendu dans du marbre ?
La Chasteté
En gros plan
"La Chasteté ("La pudeur" en italien) de Corradini, avec son drapé si transparent voilant son aspect féminin, est un autre "mystère" de la technique de sculpture, où la pierre semble avoir perdu de sa densité, devient éthérée et presque en état d'apesanteur. Il faut imaginer l'artiste qui démarre son œuvre à partir d'un bloc de marbre massif, "voit" en esprit ce personnage à l'intérieur, retire patiemment tout ce qui ne lui appartient pas, libère peu à peu la silhouette de la pierre, lisse la surface, l'affine, cisèle chaque pli de son voile".
– Op. Cit, Bizarrobazar.
Bien que la statue ait été sculptée d'après la mère de di Sangro, elle est clairement un hommage à la plus importante figure de la Franc-Maçonnerie : Isis voilée.
"On peut interpréter la femme voilée comme une allégorie de la Sagesse et une référence à l'Isis voilée, divinité particulière de la science de l'initiation".
Made in South Italy, The Alchemist Chapel
Dans le symbolisme occulte, Isis voilée est en fait l'ultime représentation des mystères occultes où la vérité est voilée au profane jusqu'à sa réelle initiation ésotérique.
"Les mystères de l'Hermétisme, les grandes vérités spirituelles cachées au monde par son ignorance et les clés des doctrines secrètes des anciens philosophes sont tous symbolisés par la vierge Isis. Voilée de la tête aux pieds, elle ne révèle sa sagesse qu'à ceux mis à l'épreuve et initiés, ayant gagné le droit de se tenir en sa présence sacrée, d'écarter le voile de l'obscurité et d'être face à face avec la Réalité Divine. (...)
Elle est pour le chercheur moderne le condensé du grand inconnu et seuls ceux qui la dévoilent pourront résoudre les mystères de la vie, de la mort, de la génération et de la régénération".
– Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages
Les gens du lieu prétendent que la Chasteté est placée à l'endroit exact où se tenait une statue d'Isis, à l'époque où la chapelle était un temple d'Isis.

Opposé à la Chasteté se trouve le Désenchantement [ou Désillusion], une autre sculpture déconcertante imprégnée d'un profond symbolisme. Sculptée d'après le père du prince, Antonio di Sangro, elle montre un homme se débattant pour se libérer d'un filet, aidé par un jeune homme ailé.
Le Désenchantement par Francesco Queirolo
Gros plan
De nouveau, un mystère entoure cette sculpture : comment sculpter un filet en avant d'un corps qui semble avoir déjà été sculpté en dessous ? Un procédé alchimique a-t-il été utilisé pour obtenir ce stupéfiant résultat ?

Comme la Chasteté, cette sculpture est une allégorie d'un concept fondamental franc-maçon : la libération de l'Homme par son intelligence.
"Sa signification allégorique exprime que l'homme est résolu à se libérer des fausses croyances (le filet) à l'aide de l'intelligence (le jeune homme)".
– Rino Di Stefano, “Sansevero”
Même s'il y a plusieurs autres sculptures dans la chapelle, ces trois-là ressortent incontestablement et se rejoignent par leur mystérieuse nature organique. Ces trois sculptures forment de plus un "triangle ésotérique". Avec la Chasteté à gauche (représentant le principe féminin), le Désenchantement à droite (représentant le principe masculin) et le Christ Voilé au centre (représentant "l'homme parfait"), les sculptures présentent le principe hermétique le plus fondamental : la Dualité émergeant pour créer un être parfait.

Dans les cercles occultes, ce concept est personnifié par Isis et Osiris s'unissant pour créer Horus – l'être parfait.

Dans mon article sur Sirius, j'écris :
Pour arriver à la perfection, l'initié doit comprendre et intégrer avec succès la nature duelle du monde (le bien et le mal ; le masculin et le féminin ; le noir et le blanc, etc.) par une métamorphose alchimique. Ce concept est représenté symboliquement par l'union d'Osiris et d'Isis (les principes mâle et femelle) qui donne naissance à Horus, l'enfant-étoile, personnage semblable au Christ, l'homme parfait de la Franc-maçonnerie – qui est l'égal de l'étoile embrasée.
Le sol d'origine de la chapelle s'inspire aussi fortement du concept de dualité et de l'initiation ésotérique.
Le sol original de la chapelle avant son changement en 1909

Le sol original était noir et blanc – censé représenter la dualité et l'unification des forces opposées – à l'instar du sol en damier qu'on trouve dans toutes les loges maçonniques. Le dessin, compliqué et tri-dimensionnel, représente un labyrinthe – symbole d'initiation maçonnique.
"Labyrinthes et dédales étaient les lieux d'initiation préférés au sein de nombreuses sectes antiques. Des restes de ces dédales mystiques ont été découverts chez les Amérindiens, les Hindous, les Perses, les Égyptiens et les Grecs. (…) Le célèbre labyrinthe de Crète, dans lequel rôdait le Minotaure à tête de taureau, était sans aucun doute un lieu d'initiation aux Mystères crétois.
Les labyrinthes symbolisaient les compromissions et les illusions des mondes inférieurs dans lesquels erre l'âme de l'homme à la recherche de la vérité".
– Hall, op. cit.
Tout comme la dualité oppose le blanc et le noir, les sublimes ouvrages d'art décrits ci-dessus s'opposent à la morbide et sinistre exhibition des Machines Anatomiques.

Adam et Ève

Les deux "machines anatomiques" de la chapelle

Que diable sont ces choses, pourriez-vous vous demander ? Eh bien, elles sont exactement ce que vous espérez qu'elles ne sont pas. Et peut-être pire.

Cette exhibition consiste en deux vrais squelettes adultes d'un homme et d'une femme enceinte. Leur système vasculaire est montré avec les artères colorées en rouge et les veines en bleu.
La tête de la femme en gros plan

On pouvait voir au départ le fœtus de la femme enceinte mais il disparut mystérieusement [en 1960].
Une macabre exhibition

Comment Raimondo di Sangro a-t-il préservé le système vasculaire de ces cadavres ? Bon, c'est un mystère qui reste mystérieux. Et comme d'habitude, une "sombre légende" entoure ces "machines anatomiques".

La rumeur veut en fait que "Adam et Ève" soient deux domestiques de di Sangro auxquels on injecta une substance qui cristallisa leur réseau sanguin – entraînant leur mort par la même occasion. Voici une version dramatique de la légende :
"Le prince, en tout bon sorcier, mélange la préparation dans un grand chaudron. La réaction longuement attendue se produit enfin : le mystérieux liquide est prêt. De l'autre côté de la pièce, les deux domestiques ligotés et bâillonnés n'ont même plus la force d'hurler. L'homme est en pleurs pendant que la femme, même immobilisée, reste vigilante et en alerte – peut-être la vie à naître qu'elle porte en elle l'empêche de donner dans la peur, de maîtriser une défense déjà impossible. Le prince n'a pas beaucoup de temps, il doit agir vite. Il verse le liquide dans une étrange pompe puis s'approche de ses victimes : il voit dans leurs yeux une terreur innommable. Il commence par l'homme, perfore la veine jugulaire et injecte le liquide dans le réseau sanguin avec une seringue. Le cœur va envoyer la préparation dans le corps et le prince observe le visage de l'homme qui agonise pendant que le poison épais commence à circuler. Voilà, c'est fini, le domestique est mort. Il faudra deux ou trois heures pour que le mélange se solidifie et sûrement plus d'un mois pour que la chair putréfiée se détache du squelette et que le réseau de veines, artères et capillaires se transforme en marbre. C'est maintenant au tour de la femme".
– bizzarrobazar, The mysteries of Sansevero Chapel
Bien que des "études" récentes prétendent que di Sangro aurait recréé artificiellement le système vasculaire de ces corps avec de petits câbles métalliques et de la cire d'abeille, j'ai du mal à le croire. Je veux dire, il n'y a qu'à regarder les photos ci-dessus de près. Comment un homme peut-il créer ce système complexe manuellement ? 
"Ces deux squelettes sont recouverts d'un réseau touffu et tortillé de tiges métalliques et de vaisseaux solidifiés représentant avec une étonnante et méticuleuse précision les systèmes vasculaire, viscéral et musculaire des êtres humains. Le crâne des deux personnages est articulé, ce qui permet de l'ouvrir en révélant un enchevêtrement incroyablement détaillé de vaisseaux sanguins à l'intérieur. Quand ils furent dévoilés, ces troublants modèles furent si déroutants et si grotesques que le prince noir fut soupçonné d'avoir pratiqué de force sa magie noire et son alchimie sur ses domestiques pour en faire ces abominations.
Qu'ils soient ou non le fruit de magie noire, Adam et Ève présentent un certain nombre de vrais mystères, le moindre étant en premier lieu la manière dont ils ont été créés. La méthode de fabrication fut pendant des années source de perplexité parmi les scientifiques et les médecins. Le complexe système circulatoire solidifié était-il réel et si c'est le cas comment s'est-il si remarquablement conservé depuis 200 ans ? Es-il artificiel ? Dans ce cas, comment a-t-il pu être si fidèlement reproduit ? En l'absence ou presque de documentation de départ sur la création de ces machines anatomiques, les réponses à ces questions ont été longtemps éludées. La théorie principale est que les deux machines anatomiques ont été créées par un procédé connu sous le nom de "plastification" ou "minéralisation" qui implique l'injection de substances directement dans le système circulatoire des sujets quand ils étaient encore en vie, à la suite de laquelle ces produits voyagent dans les veines et les durcissent, tuant dans d'atroces souffrances l'infortunée victime. Pourtant personne n'a vraiment de certitude."
– Op Cit. Swancer
Quoi qu'il en soit, ces machines anatomiques ne sont pas simplement là pour effrayer les visiteurs. On dit aussi qu'elles servent un but symbolique dans le "grand œuvre " alchimique qu'est la chapelle.

Divers indices font penser que les machines anatomiques représentent la dernière étape du processus alchimique nommé Rubedo [œuvre au rouge] – symbolisé par un phénix rouge s'élevant de ses cendres. Fait intéressant : les "machines" étaient exposées au départ dans une pièce nommée le Phénix.
"L'emplacement originel des "machines anatomiques", une plate-forme pivotante située dans une partie de la chapelle nommée Phénix, fait penser à un choix symbolique : Raimondo di Sangro les voyait comme la description du rubedo, étape dans la recherche de la pierre philosophale où la matière se recompose en garantissant l'immortalité".
– Op. Cit., bizzarrobazar
Le moins qu'on puisse dire est que la chapelle est entourée de mystère. C'est également amplifié par le fait que di Sangro a détruit ses archives scientifiques avant de mourir. Puis après sa mort, sous la menace d'une excommunication par l'Église en raison de l'implication de di Sangro dans la Franc-maçonnerie et l'alchimie, ses descendants détruisirent ce qui restait de ses écrits, formules, équipement de laboratoire et résultats d'expérimentations. Tout ce qui subsiste, c'est un symbolisme à peine voilé.

En conclusion

À l'image de son créateur, la chapelle Sansevero est impertinente et dénuée de remords. C'est une célébration de la voie ésotérique et la démonstration du savoir-faire alchimique d'un occultiste enthousiaste. Bien que le mot "occulte" signifie "caché au public", Raimondo di Sangro a passé sa vie à "médiatiser" ses centres d'intérêt et ses découvertes, en ne plaçant qu'un léger voile sur la nature réelle de ses expérimentations.

La chapelle est donc l'un de ces rares exemples où la "magie" est au vu de tous. Pendant que les sublimes œuvres d'art de la chapelle sont une célébration de la vie, de la beauté et de la spiritualité, la manipulation morbide de cadavres célèbrent à côté la mort, la décomposition et le morbide. En résumé, tout comme les sols noirs et blancs qui ornaient ce temple occulte, la chapelle de Sansevero représente visuellement la nature duelle de l'univers et par correspondance la nature duelle de l'homme. Une fois les forces opposées unifiées et la dualité résolue, il est dit que la perfection est atteinte. Pour ce faire, on ne doit pas avoir peur de contempler les cieux … et de plonger son regard dans les profondeurs de l'enfer.
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Témoignage intégral de Ronald Bernhard sur la haute finance luciférienne

Une vidéo d'Alexandre Lebreton, auteur du livre "MK" que je vous ai présenté sur le blog, et administrateur du site MK-Polis.

Ronald Bernard est un entrepreneur. Ses références sont l'économie, la psychologie, l'architecture et la théologie. Il a travaillé plus de 25 ans au sein de l'union européenne dans divers secteurs de l'industrie. Il a également exercé une fonction d'intermédiaire financier dans le négoce et la gestion d'actifs sur le marché des devises (voir description).

source : https://cooperatiedevrijemedia.nl/rea...

Son témoignage révèle la véritable nature obscure du monde dans lequel nous croyons tous vivre : corruption, fraudes, guerres, manipulation, tromperie, satanisme et pédocriminalité.


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Hans Jenny et la résonance.

Voici quatre vidéos issues du travail de Hans Jenny au sujet de l'influence des sons sur l'organisation de la matière. 

Je choisis de ne pas commenter, elles sont très édifiantes par elles - mêmes.

Pour ceux qui le désirent, les sous titres en français sont disponibles par Youtube.






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The Three Most Pitiful Summons in Naruto Online

Naruto Online is my favorite online MMORPG. This game is adapted from the anime. It has a high rate of restoration. I started playing only because I like the Naruto theme, but after awhile, I really began to like this game. This game is rich in collection and collection modes. It also has many interactive contents. It’s really fantastic!


In MMO Online, besides ninjas and skills, there are familiar summons. In the anime, summons are usually seen as companions in Narutogame. They hold the same ranking and have the same feelings as humans. But, there are exceptions!


First is ninjas turtle of Guy. This turtle has appeared two times before. Once during the chunin exam when Lee and Sasuke were fighting. He was stepped on by Guy. The second time is even worse! Guy wanted to chase and attack Kisame. With the help of Killer B he is sent flying into the sky. But half way, Guy discovers that he still had a long way to go, so he summons turtle and steps on him to make a jump, which sent turtle falling from the sky.


Second is Manju, who used to be Orochimaru’s summon. Even someone as powerful as Orochimaru can’t command manju in battles. He has to “request” him. When Orochimaru’s hands were wasted, he couldn’t summon Manju because he was afraid Manju would attack himself if he had seen that his hands were gone. But, when Deidara self-exploded, Sasuke summons Manju and controls him with the Sharingan and blocks the damage of the explosion.


Third is the Frog that appeared by Tsunade when Pain invaded Konoha. Tsunade summoned him back to Mount Myoboku to wake up Naruto. Just as Frog began to make a move, he was sliced in half by Danzo! They were fighting on the same side, trying to protect Konoha. It was not worth it!

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Thomas Pesquet, le retour ...

Ainsi donc, notre navigateur Thom-Thom national est rentré au bercail ...

Oui, je sais, le ton est un peu ironique; ceux qui s'en étonnent pourront lire au préalable l'article d'Hélios consacré à l'ISS, ici.

Donc, retour de là haut après un trajet éprouvant durant trois heures. Bravo, ils font des progrès, en 2016, il fallait quatre heures pour rentrer, C'est beaucoup mieux qu'à l'aller qui a duré ... 49 heures  ... pour la même altitude ... alors qu'il faut 8 mn et demi pour atteindre l'orbite souhaitée ...

49 heures passées dans cette position là :

notre Thom Thom est à droite.
Heureusement Thom Thom et ses copains sont entraînés à retenir leurs besoins naturels pendant 49h ...



Un petit retour sur le décollage de la fusée Soyouz, avec le lancement en direct en cette belle soirée du 17 nov 2016 :


Croyez vous qu'ils auront renoncé à bidonner cette vidéo diffusée donc en direct ?
Ben non ...

mn 0 : le vaisseau reflète la lumière en trois endroits verticaux. il y a un ovale bleu entre les deux principales.
mn 0,35 : disparition de l'ovale bleu, disparition des traces lumineuses. Les russes ont l'idée éblouissante d'orienter leur rampe de spots lumineux vers les spectateurs et non pas vers la fusée ... Eblouissant au sens visuel du terme, bien sûr..
mn 0,41 : décompte à 1,00 mn. Donc on décollera à 1,41 ? Moui ?
mn 1,30 : changement de plan. Le haut de la ligne d'alimentation du 3è étage est brillamment éclairé, il ne l'était pas une seconde avant. La source lumineuse ne peut provenir que de la tour métallique qu'on voyait à gauche au plan précédent ... tour qui ne portait aucun dispositif d'éclairage bien sûr ... Quant à la rampe de spots lumineux précédemment à droite, elle a du s'envoler avant la fusée ...
mn 1,32 : Allumage moteur avec 9 sec d'avance sur le décompte. soit une erreur de27600/3600*9=69 kms pour le rdv avec l'ISS.  Camarade chronographe, pour vous, c'est la Sibérie. Profitons de l'éclairage provenant de l'allumage moteur pour remarquer que la rampe d"alimentation du deuxième étage n'est plus à la même place qu'à 1,29.
mn 1,39 : décharge lumineuse bien curieuse qui illumine le ciel, la fusée... mais pas le mât à gauche.
mn 1,43 : en plein décollage, passage à un plan virtuel CGI .... ben zut alors, le moment le plus intéressant saboté en pleine action .... le bruitage moteur démarre avec deux secondes de retard.
mn 1,49 : l' a pas eu le temps de s'élever qu'on la voit déjà par en dessous ... une faille dans l'espace temps ?
mn 2,20 : admirez comme les 6 tuyères rondes dessinent une étoile à branches triangulaires tout en projetant de la lumière perpendiculairement à l'axe d'échappement des gaz ...

Bon, assez ri, retour sur ... le retour ...

Donc, le module une fois désarrimé de l'iSS, s'insère sur une orbite prévue automatiquement et fait une fois le tour de la Terre pour trouver le bon point de chute selon le bon angle ....Si l'angle est trop petit, la capsule part dans l'espace, et on se demande alors pourquoi l'ISS elle même ne subit pas cette dramatique issue, et si 'l'angle est trop large, la capsule est incontrôlable dans sa chute, et on se demande comment l'ami Félix Baumgartner a réussi à sauter verticalement de 39 376 mètres. 

Après on a ça :

Je me demande bien pourquoi on sacrifie le module orbital et le module de service vu qu'un coup de badigeon de résine anti-thermique économiserait des sommes folles à chaque retour. Non, on préfère les séparer à coups de boulons explosifs, qu'aucun fabricant mondial n'a à son catalogue. On ne protège pas non plus les systèmes de communications radio qui seront coupés pendant 3 mn à la rentrée à cause de la chaleur ... Pourtant, ils nous envoient des images de la surface du Soleil qui passent très bien au travers des 2 millions de degrés de la couronne solaire, et même pas mal.

Ledit bouclier anti-thermique, réservé au module de commande, protège not' petit Thom- Thom des 2000°C à la rentrée dans l'atmosphère. Du temps d' Apollo XI, c'était 4000°C, tout fout l'camp. C'est quand même ballot que les agences spatiales n'équipent pas leur astronautes avec une GOPRO à 100€, ils pourraient nous filmer cet instant magique de la rentrée sans l'espace, environnés de flammes ...

Bon, ça crame un peu la peinture du module, quoique pas partout, mais pas les parachutes en nylon, ni les bonshommes à l'intérieur qu'on protège ... en leur faisant boire de l'eau au préalable ...
Pas moyen de trouver sur Internet une photo du bouclier une fois retombé sur terre !?!

16h10 :la capsule vient d'atterrir ... pas moyen de voir les rétrofusées en action .... ça fait une mn de retard sur l'horaire officiel. Aux vitesses et angles de rentrée dans l'espace, on aurait dû tomber quelques centaines de kms plus loin... (amenez moi le camarade chronographe. il est déjà en Sibérie, camarade. ah, zut. Envoyons le plus loin encore, camarade, dans l'espace, dans l' ISS. Crétin, tu sais bien que l'ISS n'existe pas !)

Ah, Thom-thom est rentré sain et sauf. Ouf !


Voilà un garçon qui d'après le service médical vient de suer des litres pour évacuer la chaleur, façon teckel hyper-ventilé ... ça se voit pas trop, hein ?
Il a même les cheveux plus courts qu' à son départ il y a six mois. Aussi, je me demandais où était passé le coiffeur de m'sieur Hollande ...

Bon, je vous quitte, je vais rejoindre le camarade chronographe ...


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