Commençons par un bref rappel de l'origine du système solaire telle qu'elle est envisagée de nos jours.
La formation et l'évolution du système solaire sont déterminées par un modèle aujourd'hui très largement accepté et connu sous le nom d'« hypothèse de la nébuleuse solaire ». Cette théorie fut développée pour la première fois au XVIIIe siècle par Emmanuel Swedenborg, Emmanuel Kant et Pierre-Simon de Laplace.
Selon les estimations issues de ce modèle, le système solaire a commencé d'exister il y a 4,55 à 4,56 milliards d'années avec l'effondrement gravitationnel d'une petite partie d'un nuage moléculaire géant. La plus grande partie de la masse du nuage initial s'est effondrée au centre de cette zone, formant le Soleil, alors que ses restes épars ont formé le disque protoplanétaire sur la base duquel se sont formés les planètes, les lunes, les astéroïdes et les autres petits corps du Système solaire
Ces idées furent publiées par Swedenborg dans « opera philosophica et mineralis » publié en 1734 !
Donc on vit sur cette idée depuis 280 ans ….
Passons rapidement sur les invraisemblances (Pourquoi un nuage de gaz en expansion se contracte t'il soudainement ? Pourquoi cet effondrement laisse t'il un disque gazeux périphérique ? Pourquoi l'accrétion de ce disque ne plonge t'elle pas totalement au coeur du nuage ? Pourquoi certaines planètes sont-elles restées gazeuses ?) et intéressons nous à la distribution géographique de nos planètes et satellites ...
Le modèle de Swedenborg nous emmène forcément à une distribution aléatoire de ces grands corps planétaires. Le hasard, mais pas la nécessité, n'est ce pas Mr Monod ?
Pourtant :
⦁ La distance du Soleil à Mars est 1,5 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Jupiter est 5 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Saturne estt 10 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Uranus est 20 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Neptune est 30 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Pluton est 40 fois celle de la Terre au Soleil.
Curieux hasard pour des planètes séparées par des milliards de kilomètres, non ?
Et aussi : Pourquoi les planètes suivent-elles toutes l'équation énoncée dans la 3ème loi de Kepler ? Si nous prenons le temps de révolution d'une planète autour du Soleil au carré et que nous le divisons par la distance de cette planète au Soleil au cube, nous obtenons toujours la même valeur :T2/r3 = constante.
T=temps de révolution autour du Soleil en secondes.
a=distance de la planète au Soleil en mètres.
Le hasard, encore ?
Un petit détour par la Lune.
Si tout le monde sait qu'elle a un diamètre apparemment égal à celui du Soleil depuis la surface de la Terre ce qui permet des éclipses solaires totales, peu d'entre nous réalisent que, à l"échelle de l'infini de l'Univers, cette remarquable disposition Soleil-Lune-Terre relève d'une probabilité si infime qu'elle est proche de zéro. Savez vous que, de plus, depuis le Soleil, Saturne et la Terre ont également le même diamètre apparent ? Donc également une probabilité infime ?
La rotation synodique de l'équateur solaire a une période de 27.3 jours, donc exactement la durée d'une révolution lunaire autour de la Terre.
Si la révolution sidérale de l'équateur du Soleil au niveau de la photosphère est de 25 jours, celle de la masse interne du Soleil est aussi de 27.3 jours.
Ce qui nous fait donc une triple coïncidence Lune-Soleil au sujet de laquelle les média scientifiques sont bien peu diserts ...
Allez, une autre :
L'inverse de ces 27;32166 jours, c'est 1/27.32166= 0.366 c'est à dire tout juste le centième du nombre de rotations terrestres en une année normale.
Ca c'était de l'arithmétique, venons-en à de la géométrie. Les remarques qui suivent sont tirées de "l'or des étoiles" de J. Frendelvel.
1/ Imaginons un cercle et un carré de même périmètre. Hé bien, dans ce cas, le diamètre du cercle est supérieur au côté du carré de 27.32%. Encore la révolution lunaire !
2/ Si nous inscrivons un cercle dans un carré de telle manière que les bords du cercle touchent les côtés du carré, alors la surface du carré sera égale à celle du cercle + ces mêmes 27.32% ...
3/ Inscrivons maintenant un triangle équilatéral dans un cercle de telle façon que les 3 pointes du triangle touchent le périmètre du cercle. Dans un tel cas, si nous diminuons la surface du cercle de 58.65%, nous obtiendrons celle du triangle, inscrit. Or, la rotation de Mercure dure ... 58.65 jours ...
4./ Un pentagone régulier inscrit dans un cercle ? Diminuons la surface du cercle de 24.3%, nous obtenons la surface du pentagone. Et aussi ... la révolution sidérale de Vénus : 243 jours...
Après la géométrie en 2D, passons à l'étude des volumes :
5/ Si nous visualisons une sphère qui contient un cube qui contient une sphère, nous obtenons ceci :
La grande sphère A est 2.721 fois plus volumineuse que le cube qu'elle contient. Or, la révolution draconitique de la Lune est de ... 27.21 jours.
6/ Le volume de la petite sphère C est 0.524 fois celui du cube B. La distance moyenne entre le Soleil et Mars est de 1.524 UA et 0.524 c'est également le nombre de degrés que parcourt Mars en un jour terrestre.
7/ Le rapport des volumes des deux sphères A et C est de 5.2, équivalent à la distance moyenne Soleil/Jupiter exprimé en UA.
8/ Si nous visualisons une sphère qui contient un tétraèdre, nous obtenons ceci :
Le volume du tétraèdre s'obtient en diminuant celui de la sphère de 88%., et la période de révolution de Mercure est de 88 jours...
===========================================================
Alors, le système solaire? résulatat d'une accrétion hasardeuse ?
http://mensonges.fr/bigbang/BB.html
http://www.etoile-des-enfants.ch/article1238.html
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-22825336.html
reade more...
La formation et l'évolution du système solaire sont déterminées par un modèle aujourd'hui très largement accepté et connu sous le nom d'« hypothèse de la nébuleuse solaire ». Cette théorie fut développée pour la première fois au XVIIIe siècle par Emmanuel Swedenborg, Emmanuel Kant et Pierre-Simon de Laplace.
Selon les estimations issues de ce modèle, le système solaire a commencé d'exister il y a 4,55 à 4,56 milliards d'années avec l'effondrement gravitationnel d'une petite partie d'un nuage moléculaire géant. La plus grande partie de la masse du nuage initial s'est effondrée au centre de cette zone, formant le Soleil, alors que ses restes épars ont formé le disque protoplanétaire sur la base duquel se sont formés les planètes, les lunes, les astéroïdes et les autres petits corps du Système solaire
Ces idées furent publiées par Swedenborg dans « opera philosophica et mineralis » publié en 1734 !
Donc on vit sur cette idée depuis 280 ans ….
Passons rapidement sur les invraisemblances (Pourquoi un nuage de gaz en expansion se contracte t'il soudainement ? Pourquoi cet effondrement laisse t'il un disque gazeux périphérique ? Pourquoi l'accrétion de ce disque ne plonge t'elle pas totalement au coeur du nuage ? Pourquoi certaines planètes sont-elles restées gazeuses ?) et intéressons nous à la distribution géographique de nos planètes et satellites ...
Le modèle de Swedenborg nous emmène forcément à une distribution aléatoire de ces grands corps planétaires. Le hasard, mais pas la nécessité, n'est ce pas Mr Monod ?
Pourtant :
⦁ La distance du Soleil à Mars est 1,5 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Jupiter est 5 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Saturne estt 10 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Uranus est 20 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Neptune est 30 fois celle de la Terre au Soleil.
⦁ La distance du Soleil à Pluton est 40 fois celle de la Terre au Soleil.
Curieux hasard pour des planètes séparées par des milliards de kilomètres, non ?
Et aussi : Pourquoi les planètes suivent-elles toutes l'équation énoncée dans la 3ème loi de Kepler ? Si nous prenons le temps de révolution d'une planète autour du Soleil au carré et que nous le divisons par la distance de cette planète au Soleil au cube, nous obtenons toujours la même valeur :T2/r3 = constante.
T=temps de révolution autour du Soleil en secondes.
a=distance de la planète au Soleil en mètres.
Le hasard, encore ?
Un petit détour par la Lune.
Si tout le monde sait qu'elle a un diamètre apparemment égal à celui du Soleil depuis la surface de la Terre ce qui permet des éclipses solaires totales, peu d'entre nous réalisent que, à l"échelle de l'infini de l'Univers, cette remarquable disposition Soleil-Lune-Terre relève d'une probabilité si infime qu'elle est proche de zéro. Savez vous que, de plus, depuis le Soleil, Saturne et la Terre ont également le même diamètre apparent ? Donc également une probabilité infime ?
La rotation synodique de l'équateur solaire a une période de 27.3 jours, donc exactement la durée d'une révolution lunaire autour de la Terre.
Si la révolution sidérale de l'équateur du Soleil au niveau de la photosphère est de 25 jours, celle de la masse interne du Soleil est aussi de 27.3 jours.
Ce qui nous fait donc une triple coïncidence Lune-Soleil au sujet de laquelle les média scientifiques sont bien peu diserts ...
Allez, une autre :
L'inverse de ces 27;32166 jours, c'est 1/27.32166= 0.366 c'est à dire tout juste le centième du nombre de rotations terrestres en une année normale.
Ca c'était de l'arithmétique, venons-en à de la géométrie. Les remarques qui suivent sont tirées de "l'or des étoiles" de J. Frendelvel.
1/ Imaginons un cercle et un carré de même périmètre. Hé bien, dans ce cas, le diamètre du cercle est supérieur au côté du carré de 27.32%. Encore la révolution lunaire !
2/ Si nous inscrivons un cercle dans un carré de telle manière que les bords du cercle touchent les côtés du carré, alors la surface du carré sera égale à celle du cercle + ces mêmes 27.32% ...
3/ Inscrivons maintenant un triangle équilatéral dans un cercle de telle façon que les 3 pointes du triangle touchent le périmètre du cercle. Dans un tel cas, si nous diminuons la surface du cercle de 58.65%, nous obtiendrons celle du triangle, inscrit. Or, la rotation de Mercure dure ... 58.65 jours ...
4./ Un pentagone régulier inscrit dans un cercle ? Diminuons la surface du cercle de 24.3%, nous obtenons la surface du pentagone. Et aussi ... la révolution sidérale de Vénus : 243 jours...
Après la géométrie en 2D, passons à l'étude des volumes :
5/ Si nous visualisons une sphère qui contient un cube qui contient une sphère, nous obtenons ceci :
La grande sphère A est 2.721 fois plus volumineuse que le cube qu'elle contient. Or, la révolution draconitique de la Lune est de ... 27.21 jours.
6/ Le volume de la petite sphère C est 0.524 fois celui du cube B. La distance moyenne entre le Soleil et Mars est de 1.524 UA et 0.524 c'est également le nombre de degrés que parcourt Mars en un jour terrestre.
7/ Le rapport des volumes des deux sphères A et C est de 5.2, équivalent à la distance moyenne Soleil/Jupiter exprimé en UA.
8/ Si nous visualisons une sphère qui contient un tétraèdre, nous obtenons ceci :
Le volume du tétraèdre s'obtient en diminuant celui de la sphère de 88%., et la période de révolution de Mercure est de 88 jours...
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Alors, le système solaire? résulatat d'une accrétion hasardeuse ?
http://mensonges.fr/bigbang/BB.html
http://www.etoile-des-enfants.ch/article1238.html
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-22825336.html